1. Chroniques d'un séisme annoncé


    Datte: 03/11/2018, Catégories: fh, ff, extracon, Collègues / Travail vacances, fête, amour, facial, Oral préservati, pénétratio, extraconj,

    ... perspective de mettre dix ans de ma vie derrière moi me trouble. Elle se leva alors et vint se pencher en avant sur le divan de la chambre, les bras en appui sur celui-ci et les fesses bien en valeur. — Et cela, ça te trouble ? Il se leva et se pencha pour lui lécher les fesses dans cette position tout en se masturbant de l’autre main. Lorsque sa queue fut dure de nouveau, il chercha des mains un condom. Elle le sentit. — Qu’en penses-tu si on baisait sans ? J’aimerais te sentir en moi. Pour de vrai. Il se dit alors qu’il n’avait pas de raisons de refuser et qu’il avait bien envie de la remplir lui aussi. Il se releva, présenta sa queue à l’entrée de son vagin et s’y inséra très lentement. Lorsqu’il fut bien au fond, il lui saisit les hanches et commença à la baiser. Il ne se souvenait pas de l’avoir prise si fortement, mais lorsqu’il entendit ses cris d’encouragement, il sut qu’il n’était pas le seul à apprécier la situation. Ses cheveux pendant, ses seins bougeant au rythme de la pénétration, il était vraiment en train d’expérimenter les baises telles qu’il les aimait. Il donnait des coups si puissants que le divan bougeait, et ce n’est que lorsque Sara s’effondra, épuisée, après sa jouissance qu’il ralentit et qu’il quitta cet antre de bonheur, la queue toujours bien droite. — Wow… Je ne me souviens pas que tu m’aies fait crier de la sorte.— Tu n’as rien vu encore. Il la poussa sur le lit où elle se positionna sur le ventre. Il grimpa sur elle, colla ses deux jambes, ...
    ... mit ses cuisses de chaque côté et la pénétra de cette manière. Les mains bien en appui sur le lit, il la pistonna littéralement de tout son long pendant qu’elle lui disait de continuer. Il se surprit même à tirer ses cheveux vers l’arrière pour lui relever la tête. Elle grimaçait de plaisir et se laissait faire, savourant chaque coup, chaque caresse, chaque parole. Il l’embrassait dans le cou, le mordillant de temps à autre, ce qui lui arrachait de petits gémissements. — Tu aimes que je te prenne comme ça ?— Oui, défonce-moi…— Comme ça ? Il poussa alors sa queue encore plus loin que les fois précédentes, la maintenant bien en place, serrant ses seins à pleines mains, prenant une grande respiration pour bien humer son doux parfum. — Oui, comme ça… Ce n’est que lorsqu’il sentit la main de son amante s’aventurer sous son ventre et rejoindre son clitoris qu’il ne fut plus capable de se retenir. Il donna un dernier coup et commença à gémir au moment où Sara était secouée des soubresauts de sa propre jouissance. Il éjacula longuement en elle. Souriants et repus, ils se blottirent dans le lit. — J’aime te sentir éjaculer en moi. Ça m’a donné un grand orgasme. Ils tombèrent assoupis, et au bout d’un certain temps qu’il ne put évaluer, le son d’un cellulaire se fit entendre. Ce n’était pas le sien. Sara, encore endormie, fit glisser l’icône de l’écran de veille et lut, puis elle lui relut à voix haute : — Il nous reste donc six heures, Sara. Ils s’endormirent, collants de sueur et de ...
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