Chroniques d'un séisme annoncé
Datte: 03/11/2018,
Catégories:
fh,
ff,
extracon,
Collègues / Travail
vacances,
fête,
amour,
facial,
Oral
préservati,
pénétratio,
extraconj,
... plaisir, le sourire sur le visage. __________________________________________ Au petit matin, en ce lendemain de Noël, il s’éveilla et sans faire trop de bruit s’habilla et prit la direction de sa demeure. Cette nuit de plaisirs lui avait fait le plus grand bien, mais il se questionnait en même temps sur les intentions de sa femme. N’étaient-ce que des aventures, ou voulait-elle finalement plus après toutes ces années ? Toutes ces fois où il n’était pas à la maison, il se dit qu’elle n’était finalement peut-être pas au bureau. Toutes ces fois où ils se disaient qu’ils s’aimaient, le pensait-elle vraiment ? Mais qui était-il pour juger ? N’avait-il pas lui-même prononcé ces mots à de multiples reprises alors qu’il venait de baiser avec sa maîtresse quelques minutes auparavant ? En entrant chez lui, il vit Anastasia en train de déjeuner. Seule. — Tu arrives juste au bon moment. Il serait dommage qu’elle apprenne que tu t’es envoyé une fille pendant qu’elle voulait juste passer une nuit avec une amie, hein ? Le chat sortait du sac. Il ne voulait effectivement pas qu’elle sache comment il avait meublé sa nuit. Il aurait alors pu lui dire qu’il savait qu’elle s’envoyait sa femme depuis une décennie et qu’elle était mal placée pour les jugements de valeur, mais décida de garder cette carte dans son jeu. — Et cette nuit, elle fut bonne ?— Oui, vraiment.— Elle a apprécié autant que toi ?— J’en ai bien l’impression. Elle dort en ce moment, elle est très épuisée.— Dois-je ...
... m’inquiéter pour mon mariage, Anastasia ?— J’ai toujours aimé Karen. Lorsqu’elle m’a laissée pour se marier avec toi, j’ai compris. Mais j’espère que tu comprendrais si l’inverse se produisait. Tu devrais lui parler.— Vous en êtes à ce stade ?— Vous devriez définitivement discuter. Elle partit sur ces paroles, lui adressant un sourire, sans demander son reste. Il se fit à son tour un café bien tassé qu’il accompagna d’une cigarette. Lorsque les deux furent terminés, il monta à l’étage et vit sa femme qui dormait, nue. Par terre, les vêtements de la veille gisaient partout. Son pied heurta quelque chose pendant qu’il avançait vers le lit : un gode rose. Long d’une vingtaine de centimètres, il était accompagné d’une ceinture en cuir. Mais d’où cela pouvait-il bien provenir ? Il prit place sur le bord du lit et posa sa main sur l’épaule de Karen ; elle ouvrit les yeux. — Je suis désolé, chéri ; je n’ai pensé qu’à moi, hier. J’aurais dû te permettre de participer, mais j’avais trop envie de l’avoir pour moi.— Je comprends…— Tout cela me trouble. Je ne sais plus quoi penser. Depuis qu’on est ensemble… Son cellulaire sonna. Un rapide coup d’œil lui indiqua que c’était le bureau. — Charlotte, nous sommes le lendemain de Noël, et… Sa secrétaire lui apprit alors qu’un dossier d’envergure, un de ceux qu’il se gardait pour lui, nécessitait son attention immédiate. — Je serai là dans deux heures. Il raccrocha. — Je dois partir. Pouvons-nous reprendre cette conversation plus tard ?— Oui. Elle se ...