1. Les moulins de mon coeur


    Datte: 04/11/2018, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, amour, jalousie, Masturbation Oral 69, amourdura,

    ... les cuisses et suivant, de mon bassin, ses mouvements devenus désordonnés. Je crois que je réussis plutôt bien et je suis heureuse de la voir ainsi. Elle semble tétanisée quelques secondes puis elle jette littéralement sur moi et m’embrasse goulûment en frottant encore un peu son sexe sur ma cuisse. — Excuse-moi, pendant un moment je ne savais plus ce que je faisais, dit-elle.— Non ! Ne t’excuse pas. Au contraire, c’est très flatteur pour moi. Nous nous embrassons une nouvelle fois puis elle se glisse entre mes jambes. — Non ! dis-je. Touche-moi plutôt, je veux jouir sous tes doigts, en t’embrassant. Ce que je lui dis semble l’émouvoir et la suite se passe comme je le souhaite. Elle sait admirablement y faire. Le plaisir qu’elle me donne ainsi est des plus intenses. Quand mon excitation est retombée nous nous cajolons un long moment. Elle se relève soudain et dit : — Attends, j’avais préparé quelque chose et avec tout ça je n’y ai plus pensé. Elle quitte la chambre. Je ne peux m’empêcher de l’admirer. En fait, c’est la première fois que je la vois entièrement dévêtue. Elle est superbe. Ses cheveux longs et soyeux ondulent sur son dos. Sa taille est fine, ses jambes parfaitement galbées. Elle revient quelques instants plus tard avec une bouteille de champagne et deux flûtes. Nous trinquons toutes les deux nues dans son lit. J’apprécie le mélange de romantisme et d’impudeur de la situation. Le temps passe et il est presque seize heures, je me décide à me préparer. Je n’ai pas ...
    ... envie de partir mais je dois m’y résoudre. Je récupère mes affaires disséminées ça et là entre l’entrée et le lit. Ma culotte est déchirée. Elle le remarque. — Prends-en une dans le tiroir de la commode.— C’est vrai ? Je peux ?— Bien sûr, dit-elle en ouvrant le tiroir en question. Choisis ! Je prends une culotte de dentelle blanche dans le style de celle que j’avais en arrivant. — Tu veux prendre une douche ?— Oui mais avec toi. Elle rit, prend ma main et m’entraîne dans sa salle de bains. Sa cabine de douche est spacieuse. Les ablutions dégénèrent vite en une masturbation mutuelle. Cette fois c’est moi qui jouis la première puis c’est son tour, pendant un long baiser. Nous nous séparons à la porte de l’ascenseur sur la promesse de rester en contact et de nous revoir très rapidement. Le trajet en voiture jusque chez moi me permet de repasser de l’autre côté du miroir, là où Alexia n’existe pas. Je fais mentalement ma check–list : en arrivant il me faut remettre les mêmes vêtements que ce matin. Même si Bénédicte ne m’a pas vue habillée, elle sait bien qu’il n’est pas dans mes habitudes de porter une jupe pour aller au boulot. J’ai à peine fini de me changer quand elle arrive à son tour. Elle me raconte sa journée qui a été dure. Pour finir elle me demande ce que j’ai fait de mon après-midi : — Je n’ai pas bougé d’ici ; j’avais trop de corrections, dis-je en désignant le tas de copies sur la table du salon. J’ai aussi fait la sieste.— Veinarde ! Remarque, comme ça tu auras la ...
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