PokémonVR (9)
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... celles d’Ayaka et de la femme que j’embrassais quelques secondes auparavant. -Je ne peux plus ignorer son appel, couina-t-elle alors en reculant son corps tout en se penchant en avant. Ses lèvres, brillantes de salive -j’étais totalement incapable de dire s’il s’agissait de la mienne ou non-, se posèrent sur le tissu de mon caleçon, tendu au niveau de son centre. Elle y déposa trois doux baisers avant de poser ses mains sur le tissu de mon sous-vêtement et le baissa progressivement jusqu’à mes genoux. Je sentis alors une douce sensation de chaleur m’envahir le bas du corps. Humide et ardemment agréable, je ne pouvais qualifier autrement ce qu’elle me prodiguait. Elle semblait avoir compris que la précipitation ne faisait que ruiner ce genre de moments. Elle s’appliquait énormément et cela se ressentait. Je ne fus guère long afin de repousser son visage et la faire s’arrêter. -Désolé, dis-je, mais à ce rythme là, tu m’aurais achevé sans avoir pu bénéficier de ta part. Elle me sourit et ôta mon tee-shirt, sans doute n’avait-elle pas remarqué que je l’avais sur moi avant cet instant. J’étais tout aussi nu qu’elle, mais je n’avais pas un filet de salive coulant le long de mon menton. Elle semblait confuse de ce qu’elle venait de faire, comme si elle ne réalisait pas totalement. Je profitai de cet instant pour plonger ma tête entre ses jambes et sortis la langue. Plus par enthousiasme que par surprise, elle poussa un cri qui me poussa à redoubler d’intensité. Je m’occupai d’elle ...
... à l’image des efforts qu’elle avait fournis lorsque cela avait été mon tour. Je parcourus l’épiderme hautement érogène de cette zone féminine et la fis frémir par quelques tours de langue. Comme quoi, tourner sept fois sa langue autour d’un certain point n’avait pas du tout le même résultat que lorsqu’il s’agissait de sa bouche. Elle posa ses mains sur mon crâne, et si je m’attendais à la voir appuyer pour accentuer les sensations de ce ballet des plus spéciaux, je fus surpris de la voir me repousser. -J’ai envie de le faire, là, maintenant. Je ne peux plus attendre. Comme pour illustrer ses propos, MissMalice me poussa en arrière ; je me retrouvai sur le dos, mon crâne reposant sur mon oreiller douillet. Ma partenaire d’un soir, repoussant une mèche récalcitrante de ses cheveux blonds derrière son oreille, m’enjamba. Chacune de ses jambes se trouvait d’un côté de mon corps, ses genoux l’empêchant de tomber à la renverse. Elle abaissa lentement son bassin avec un rythme saccadé par l’appréhension qu’elle ressentait. Après tout, elle avait avoué n’avoir jamais pratiqué la chose, et sans doute craignait-elle que la pratique ne fût douloureuse. Mais une fois que nos deux fragments de corps entrèrent en contact, je la sentis tressaillir tandis qu’une chaleur humide enivrait mon corps. Je butai alors sur une paroi que j’identifiai immédiatement comme étant la preuve de la pureté féminine. Dès lors, elle tenta de la faire céder, mais cela ne fit que lui arracher quelques cris de ...