1. Les lumieres de Londres


    Datte: 05/11/2018, Catégories: fh, hotel, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, journal, occasion,

    ... envie de te revoir uniquement avec tes bas … » puis s’éloigne de quelques mètres avant de tourner la tête pour un dernier clin d’œil charmant. 8 h 35 London time J’arpente les couloirs du métro afin de me rendre à Saint-Paul dans nos bureaux. Un dédale d’escaliers, d’escalators, des quais bondés. Je réussis à monter dans la deuxième : des sardines dans une boîte de métal. Vingt minutes de métro où je cogite la dernière phrase de Lucas, sa dernière caresse sur mon entrecuisse. La sonnerie du téléphone me sort de ma rêverie, quand je vois Alex s’afficher. Zut, ça m’était presque sorti de la tête ! Alex : Salut, ça va ? Moi : Salut toi ! J’arrive au travail. Alex : Tu arrives quand, ce soir ? Moi : Euh… Je ne sais pas encore le programme. Alex : OK, j’avais prévu qu’on sorte. Je te présenterai quelques amis et on dînera en ville ? Moi : Oui, oui, mais pas trop tôt. Alex : OK, on part sur 18 h 30-19 h pour poser tes affaires à la maison et ensuite on va faire un peu la fête ensemble ! Biz ! Moi : Biz, Alex. La matinée enchaîne les meetings et discussions avec mes collègues londoniens. Alors que nous allons chercher à manger, je me décide à envoyer un SMS à Lucas : Voilà, j’ai de nouveau une petite boule au ventre en pensant à lui alors que je ne le connais pas. Il m’intimide peut-être par son âge, son assurance, et aussi ses lèvres… Je ne quitte pas le téléphone des yeux et finis par me résoudre qu’il ne me répondra pas quand je rentre en réunion une heure plus tard. Fallait s’y ...
    ... attendre, c’est quand je suis plongé dans le meeting que mon portable vibre. Discrètement nous engageons une discussion par texto : Et puis silence radio. La réunion continue, mais je ne suis plus vraiment concentrée. 15 h. Toujours rien. Je trépigne. À tel point que l’organisateur de la réunion me propose d’écourter celle-ci en voyant mon impatience. 15 h 30. Je vibre. Là c’est la panique ! Rendez-vous à sa chambre d’hôtel… mes doigts hésitent sur le clavier. C’est dans une heure et demie, et la seule interrogation qui me vient immédiatement à l’esprit, c’est de savoir où se trouve l’hôtel alors que je devrais plutôt me demander si c’est raisonnable d’aller là-bas. J’étais OK pour un verre ou un truc romantique qui puisse déraper, mais là c’est clair que l’on ne va pas juste parler. Quoi qu’il en soit je regarde « Plan » sur mon téléphone et localise cet hôtel. 20-25 min à pied ou deux stations de métro, ce qui veut dire que je n’y serai pas à 17 h, ma dernière réunion se terminant à cette heure-là. 16 h 50. Je suis au pied de l’immeuble et me dirige au pas de course en direction de l’hôtel. J’en profite pour envoyer un texto à Lucas pour lui dire que je suis sur le chemin. J’essaye de réfléchir à comment lui dire que l’on pourrait aller prendre un verre en arrivant. 17 h 20. Je suis dans l’ascenseur vers la chambre 1304. Mon cœur bat fort pour plein de bonnes raisons : cette longue marche à pied à tirer ma valise roulante et une petite dose de peur/excitation. Je frappe à ...
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