1. Les lumieres de Londres


    Datte: 05/11/2018, Catégories: fh, hotel, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, journal, occasion,

    ... tournée vers lui pour continuer la discussion, nos genoux s’entrechoquent ou plutôt se contactent plusieurs fois. Lui : (baissant la tête vers mes jambes) Difficile de résister quand je sais maintenant qu’elles sont enveloppées dans des bas… Moi : Vous ne seriez pas en train de me draguer un petit peu… que dirait votre femme ? Lui : Qui vous dit que je suis marié ? Moi : À votre âge… Pardon… je voulais dire, vous êtes plutôt mignon, bien apprêté… je ne vois aucune raison pour que vous soyez célibataire. Lui : Et pourtant ! Mais je pourrais me poser la même question à propos de vous. Moi : Mais je n’ai pas regardé vos jambes, moi ! Lui : Non, mais vous ne cessez de me sourire et me regarder avec ces yeux gourmands Moi : Mais non ! Lui : Oh que si … Menteuse… c’est vrai qu’il est très appétissant. J’en suis même à l’imaginer nu avec des pectoraux bien dessinés, des cuisses musclées, et peut-être un torse imberbe comme je les aime. Je ne sais pas si c’est le silence ou mon absence momentanée, mais avec son bras posé sur l’accoudoir qui nous sépare, il a laissé ses doigts glisser sur le dessus de ma cuisse, juste le bout des doigts, comme si de rien n’était. Et moi je ne dis rien. Tout à coup, les freins se mettent en marche et nous immobilisent alors que nous sommes encore dans le tunnel sous la manche. Les lumières s’éteignent et les veilleuses de sécurité prennent le relais. Lui : Ça doit être un signe… Je ne réponds pas et ses doigts, cette fois-ci, frôlent mes bas, remontant ...
    ... lentement jusqu’à la lisière. Toujours les yeux dans les yeux. Mes cuisses, l’une contre l’autre jusqu’à présent, s’ouvrent juste un peu et la chaleur de sa main irradie immédiatement les quelques centimètres de chair à nu. Combien de temps pour qu’il n’arrive avec la tranche de sa main contre la dentelle, je ne sais pas. Les paupières fermées, la voix dans le haut-parleur qui nous annonce excuse et redémarrage immédiat, me sort de ce moment fugace. Lucas retire sa main lentement tout en m’empêchant de remettre en place ma jupe. Lui : Laisse-moi profiter encore quelques secondes. Nos mains se tiennent sur l’accoudoir quand nous sortons du tunnel et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, son téléphone sonne. S’excusant, il rejoint la séparation de wagon pour s’isoler. C’est avec les joues en feu et le bas-ventre qui gargouille que je finis le voyage. Lucas rejoint le compartiment quelques secondes avant d’entrer en gare. Lui : Voilà mes coordonnées, je suis à Londres jusqu’à demain soir. Il me tend une carte de visite, rassemble ses affaires et nous quittons le wagon ensemble. Pas un mot échangé sur le quai, juste quelques regards souriants. Lucas s’apprête à bifurquer vers la station de taxis quand je me dirige vers le métro. Lui : J’ai été enchanté par ce voyage en ta compagnie. Moi : Moi aussi. Lui : Tu sais où me joindre… aujourd’hui, demain ou même plus tard. Il approche son visage, me fait une bise sur la joue et chuchote à mon oreille : « pour ma part, j’ai très ...
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