1. La mère de Thomas


    Datte: 05/11/2018, Catégories: f, fh, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... contracte, elle serre les cuisses autour de sa main et soupire profondément. — Eh bien, elle s’est fait plaisir, la coquine, me dis-je. Elle reprend lentement ses esprits, et entame alors le savonnage de tout son corps, elle passe et repasse sur sa petite chatte. Elle se retourne à nouveau et j’ai la chance de voir ses fesses alors qu’elle les frotte énergiquement. Elle écarte sa fesse droite afin de bien laver toutes ses parties intimes. Si j’osais, j’entrerais même lui donner quelques conseils afin qu’elle n’oublie rien. J’aperçois sa petite rondelle, toute rose elle aussi, entre deux coups de gant. Je ne sais pas quelle partie du show j’ai le plus apprécié finalement, la masturbation ou le lavage ? Puis, je la vois reposer le gant et fermer l’eau. — Patrick, j’ai terminé, tu peux venir, crie-t-elle à travers la maison.— J’arrive, lui répond Patrick. Putain, je l’avais complètement oublié lui ! J’essaie tant bien que mal de cacher la bosse qui déforme mon caleçon et traverse le couloir. Je le croise juste lorsqu’il sort de la cuisine alors qu’il se dirige vers la salle de bain. Je suis cramoisi, il a forcément vu que la porte de la salle de bain était entrouverte. — Ça va ? Tu as trouvé les toilettes ? me dit-il alors que je presse le pas pour ne pas qu’il remarque mon caleçon.— Oui, oui, je réponds en essayant de le regarder et de prendre un ton le plus détaché possible. Mais ce n’est pas facile de se donner une contenance lorsqu’on a un caleçon déformé, le visage ...
    ... empourpré et les yeux encore brillants de désir. Il a encore son rictus au coin des lèvres. — Tant mieux. Au fait, j’aimerais que tu me parles de Thomas, il a des copains à l’école ? des copines ?— Ben euh… Je n’ai pas, mais alors pas envie du tout d’entamer ce genre de conversation ici et maintenant. — Bon Patrick, tu viens, insiste Anne dans la salle de bain. Ouf, sauvé par le gong ! — Elle est pénible, hein, me dit Patrick. Jolie, mais pénible, n’est-ce pas… Et il me destine le même clin d’œil que tout à l’heure. Ne trouvant rien à répondre, j’éclate d’un rire qui sonne aussi faux qu’une fanfare municipale. Je cours essayer de me trouver une cachette dans le jardin. Thomas m’interpelle : — T’étais où ? T’en as mis un temps, ça va au moins, t’es pas malade j’espère ?— Non non, ça va. J’essaie de couper court à ses interrogations. — Bon alors, dis-moi ce qu’il y a à faire.— Va chercher les assiettes dans la cuisine. Voilà ce que je craignais, il faut que j’y retourne. Je le craignais mais en même temps j’espérais trouver une excuse qui me permettrait de voir Anne à nouveau. J’arrive dans la cuisine et me mets à chercher dans tous les placards, les portes claquent. Soudain j’entends Anne qui me demande : — Tu cherches quelque chose ?— Euh oui, les assiettes…— Elles sont dans le placard sous le four.— Lequel ? Fais-je en me retournant. Là, je manque de m’étrangler. Anne est devant moi, habillée seulement d’une serviette, entourée autour de ses seins et qui descend jusqu’en haut de ses ...
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