1. La mère de Thomas


    Datte: 05/11/2018, Catégories: f, fh, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, init,

    ... cuisses. Une autre serviette est nouée dans ses cheveux pour les sécher. Elle est encore plus belle comme ça, sa gorge, son cou et ses épaules toutes dégagées. J’en suis bouche bée et reste planté là à la regarder pendant quelques secondes. — Attends, je vais te montrer, renchérit-elle. Elle s’approche de moi, me demande de me pousser, ouvre la porte du placard en question, et machinalement elle se penche pour prendre une pile d’assiettes. J’ai une vue imprenable sur ses fesses magnifiques et les lèvres toutes roses et lisses de son abricot, et tout cela à portée de main. Je me prends à rêver de pouvoir m’approcher encore, poser mes mains sur son corps et m’insinuer dans son intimité… Mais la belle a dû sentir mon émoi, ou simplement se rendre compte de la vue qu’elle m’avait offerte, car elle réajuste sa position et s’accroupit dans une position plus décente. Elle se retourne et me demande : — Au fait, vous serez combien ? J’essaie de reprendre mes esprits : — On devrait être dix-huit. Je la vois alors qui écarquille les yeux en regardant mon caleçon. Accroupie devant moi, il faut dire qu’elle ne pouvait pas manquer mon début d’érection. Elle se retourne vers sa pile d’assiettes, visiblement gênée, les attrape, se relève et me les tend. Mes mains effleurent les siennes quand elle les y dépose. Ce contact me fait l’effet d’une décharge électrique. Je la sens elle aussi troublée et il me semble que ses mains s’attardent un peu plus longtemps qu’elles ne le devraient dans les ...
    ... miennes. Ou alors est-ce mon imagination ? Ce n’est pas impossible… J’aimerais que ce moment dure des heures… — Merci, dis-je pour rompre le silence les yeux encore brillants d’excitation Je ne sais pas si elle saisit le double sens de mon merci. — De rien, me répond-elle. Ses joues commencent à rosir, elle m’envoie son plus grand sourire. Je suis subjugué. — Si tu n’as besoin de rien d’autre, je file me changer, sinon je vais être en retard.— Je pense que c’est bon, merci beaucoup. Elle tourne les talons et sort de la cuisine. Je retourne au jardin aider Thomas à dresser la table. Il est toujours à fond dans la préparation et est à cent lieues de penser que sa mère suscite un tel émoi en moi. -- 19 h -- — Anne, presse-toi ! crie Patrick à travers la maison.— J’arrive… Anne sort de la maison à cloche-pied en finissant de serrer la boucle de sa chaussure droite. Elle porte une magnifique robe noire qui lui descend juste au-dessus du genou et dont un côté est fendu jusqu’en haut de ses cuisses avec un effet plissé. Le décolleté de la robe est sexy sans être vulgaire et le dos est nu, si ce n’est les deux bretelles qui se referment derrière son cou. J’adore ce type de robe car, à moins d’une énorme faute de goût, les femmes qui les portent se doivent de se passer de soutien-gorge, pour le plus grand plaisir des hommes qui les côtoient. J’adore aussi les femmes qui serrent leurs boucles de chaussure… Et quand une belle femme, habillée d’une robe décolletée, sans soutien-gorge, ...
«12...456...11»