Au plaisir de Sonia
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
uniforme,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
... roulaient sur ses joues, ses sanglots n’en finissaient plus. Je me suis glissé dans les draps, tout contre elle, et je l’ai serrée très fort dans mes bras. Je l’ai tenue comme ça toute la nuit et elle a fini par s’endormir… Moi, je pleurais comme un gamin en la regardant dormir, conscient de tout le mal que j’avais pu lui faire, conscient que je l’aimais plus que tout et que j’avais bien failli la perdre. Au petit matin, elle s’est réveillée dans mes bras et je l’ai embrassée sur les joues, sur la bouche, avec empressement, un peu comme au premier jour. Curieusement, malgré l’heure tardive, ce jour-là elle n’a pas insisté pour se lever, elle qui était pourtant d’ordinaire toujours très ponctuelle à son travail. Je l’embrassais partout, sur la bouche, sur les seins, sur tout le corps, en descendant lentement vers son puits d’amour. Un concert de baisers mélangés de caresses : voilà ce à quoi elle avait droit ce matin-là. Ne pouvant mieux faire, je lui ai dévoré l’abricot comme jamais je ne l’avais fait jusqu’alors, en y mettant toute mon attention, en essayant d’être vigilant à la moindre de ses sensations. Une première vague de jouissance l’a emportée, mais je continuais encore à lui manger la chatte tandis qu’elle se tordait en tous sens sur le lit. Je la dévorais désormais à pleine bouche, m’acharnant comme un fou sur son fruit bien juteux. Une seconde vague la terrassa, suivie immédiatement d’une troisième qui la laissa complètement molle : — Arrête, arrête, je t’en ...
... supplie, je n’en peux plus. Elle ne m’avait encore jamais dit ça ! Elle reprit lentement ses esprits jusqu’à ce qu’elle soit enfin capable d’attraper le combiné pour téléphoner à l’adjudant : — Allô, mon adjudant, c’est Sonia. Je ne peux pas venir travailler ce matin, je suis clouée au lit avec une forte fièvre. En douze ans de mariage, je ne l’avais jamais vue s’absenter une seule fois. Sonia n’était pas du genre à se faire porter pâle sous des prétextes futiles. Même grippée, la goutte au nez, elle allait au turbin, quitte à filer sa crève à l’ensemble du commissariat. Il fallait donc que l’événement soit de taille ! Et il l’était effectivement, car il scellait notre réconciliation. Les semaines qui suivirent notre nouvelle union, je lui fis l’amour tous les jours et parfois plusieurs fois par jour. Mon sexe désespérément mort, je le remplaçais astucieusement par mes doigts, par ma bouche et par des tonnes d’objets sexuels qui sommeillaient jusque-là dans l’armoire. Sonia reprenait à vue d’œil du poil de la bête. Elle redevenait rapidement la femme heureuse et épanouie qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être. Je rivalisais d’ingéniosité pour lui concocter des scénarios inventifs et innovants avec toujours comme objectif celui de la faire jouir comme une folle. Néanmoins, quelque chose manquait à mon bonheur. Sonia a toujours été beaucoup plus vaginale que clitoridienne, elle a toujours apprécié les chevauchées sauvages et, malgré toute ma dextérité dans l’utilisation des ...