1. Au plaisir de Sonia


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, couple, couplus, extracon, extraoffre, cocus, uniforme, poilu(e)s, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral fgode, pénétratio, fsodo,

    ... pour cette violence conjugale. Lorsqu’elle partait le matin, je la traitais de tous les noms, de vicieuse, de salope, de putain. Par qui allait-elle encore se faire baiser ? Elle avait le cul en feu et ses collègues devaient bien rigoler en pensant à ce con de mari impuissant ! — Tu es ridicule, me disait-elle, complètement ridicule. Tout ce que tu mériterais, c’est que je te trompe pour de vrai.— Eh bien, vas-y, fais-le, jette-toi sur d’autres bites, puisque c’est ça qui te manque ! Tu étais pourtant bien contente de la trouver, la mienne, quand je pouvais encore bander ! Elle partait généralement en claquant la porte. Je n’avais plus de goût à rien, je ne voulais plus jamais rien faire. Ses jours de congé étaient encore plus moroses que le restant de la semaine. Nous restions assis dans cet espace restreint, comme deux étrangers, devant la télé, sans nous parler, en attendant la prochaine dispute. Plusieurs fois, je l’ai trouvée en train de sangloter, toute seule dans la chambre. Je n’ai rien dit, j’étais l’unique cause de son malheur. De toute façon, qu’est-ce qu’elle pourrait bien faire d’un mari sans couille, d’un mari qui ne bandait plus, qui ne pourrait plus jamais bander ? Souvent, j’allais dormir dans le salon. Je préférais faire lit à part. Au bout de deux ans, elle était sur le point de demander le divorce. Les week-ends où elle n’était pas de permanence, elle préférait les passer chez ses parents. De plus en plus souvent, elle s’absentait de la bicoque. C’est ...
    ... sa mère qui m’a alerté. Elle m’a téléphoné un beau matin pour me dire que Sonia n’en pouvait plus, que c’était trop pour elle, qu’elle n’arrêtait pas de pleurer et que, s’il me restait ne serait-ce qu’un peu de sentiment envers elle, il était plus que temps de le manifester. Le soir même, je suis allé rejoindre ma femme dans la chambre. Dans la vie, il ne me restait plus que Sonia, et si je la perdais il ne me restait plus rien. Quelques jours auparavant, j’aurais dit : « Qu’importe ! Qu’elle aille donc se faire foutre ! » et je me serais saoulé, mais là… c’était ma dernière chance… Pour que sa mère appelle, il fallait quand même que ce soit très grave ! — Ecoute, Sonia, on pourrait essayer d’en parler… Elle avait déjà les larmes aux yeux. — Est-ce que tu crois que c’est encore possible entre nous ? lui demandai-je.— Je ne sais pas, je ne sais plus… Je ne crois pas.— Sonia, je t’aime, je te jure que je ne voulais pas te faire tout ce mal.— Mais le mal est fait. Elle finit par consentir à se blottir contre moi, le corps secoué par des sanglots sans fin. Elle me dit tout bas : — Je n’en peux vraiment plus, tu sais ?— Je sais. Je l’ai serrée longuement en lui caressant la joue. Cela faisait des mois que cela ne nous était pas arrivé, des mois sans le moindre instant de tendresse. Il n’y avait plus de câlins, plus d’attention, il n’y avait plus que moi et mon dégoût pour moi-même. Je m’apercevais soudain à quel point j’avais été un monstre, un être froid et égoïste. Les larmes ...
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