1. Ma soumission à Katia et Franck (2)


    Datte: 07/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Je ne trouve rien à répondre. En réalité, je suis tétanisé depuis que Franck est apparu dans le salon. Il doit bien mesurer deux têtes de plus que moi et, sous la robe de chambre, je devine un corps bodybuildé. De plus, l’air détendu qu’il affiche m’inquiète plus qu’il ne me rassure. Car derrière son sourire teinté de mépris, je vois ses mâchoires qui se crispent, révélant ainsi une nervosité contenue. Je crois bien que ce type est prêt à me bondir dessus pour me cogner. Je n’ose pas parler, de peur de prononcer les mauvais mots et de faire exploser sa colère. Je suis d’autant plus troublé que je sens, en même temps que la peur, une douce chaleur envahir mon bas-ventre. L’excitation qui s’était accumulée en moi, depuis que je suis entré chez Katia, s’est envolée d’un coup à l’arrivée de Franck. Mais là, devant ce couple magnifique, dont la femelle me dévoile son cul tout en câlinant son homme, et dont le mâle me domine de son regard froid tout en malaxant les fesses de sa femelle… je ressens un trouble et une excitation que je ne parviens pas à m’expliquer. Je ne devrais normalement ressentir que des émotions négatives, comme de la peur, de la déception ou de la honte. Je ressens effectivement tout cela. Mais, malgré ces sentiments (ou peut-être à cause d’eux) je suis à nouveau submergé par une vague d’excitation sexuelle. Je devine que le sang me monte au visage et que je deviens rouge comme une pivoine. Mon trouble et mon excitation visibles ne semblent pas échapper à ...
    ... Katia qui me scrute de ses yeux luisants, depuis le cou imposant et viril dans lequel elle a enfoui son visage. Sans cesser de câliner son homme, elle me lance, d’une voix que sa propre excitation rend un peu chevrotante : — Franck t’a posé une question, Julien. Tu voulais me baiser ? À peine a-t-elle prononcé ces mots que Franck émet un petit rire complice avant de l’embrasser à pleine bouche, tout en accentuant la pression de sa grosse main sur le cul magnifique. Tout en sentant des larmes de honte et de rage couler sur mes joues, mais également de plus en plus submergé par cette excitation étrange, j’émets un faible oui. Je me surprends moi-même à participer à cette conversation surréaliste plutôt que de tenter de fuir. Mais le désir nouveau et incompréhensible qui m’habite me maintient cloué sur place, à la merci de ces deux bourreaux dont chaque provocation, chaque parole et chaque geste d’humiliation me neutralisent un peu plus à cause du plaisir étrange qu’ils font croître en moi. Katia contemple mes larmes d’un air fasciné, avec une lueur vorace dans ses yeux magnifiques. Son sourire s’élargit. — Merde, je crois bien qu’il est amoureux de moi, chéri ! dit-elle à Franck en posant sa main de déesse sur la cuisse musclée de son mâle, juste à la lisière de la robe de chambre. On l’a fait pleurer cette fiotte ! À ces mots, je fonds pour de bon en larmes. Des vrais pleurs sincères, mon cœur est brisé. Encore une fois, mes émotions me surprennent : au moment où je fonds en ...
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