1. Ma soumission à Katia et Franck (2)


    Datte: 07/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... larmes, mon sexe durcit comme jamais et viens déformer l’avant de mon pantalon, sous les yeux de mes deux hôtes. Jamais je n’avais bandé avec une telle vigueur, ni aussi soudainement. Jamais je n’avais ressenti une excitation aussi profonde, aussi sauvage, aussi totale. Bien évidemment, mes larmes et ma bite bandée provoquent des éclats de rire du côté du couple. Je me sens tellement minable… et c’est tellement bon ! Mes larmes brouillent ma vue pendant de longues secondes et, quand j’y vois à nouveau, je constate que Katia a fait jaillir la bite de Franck d’entre les pans de la robe de chambre. Elle tient la belle queue bien raide d’une main ferme et me toise avec un air souverain. Je devine d’instinct ce qui va arriver, et je ne peux empêcher la nouvelle vague d’excitation qui déferle en moi, qui me submerge totalement. Ce que dis ensuite Katia confirme mon intuition : — Pauvre bébé, il a un gros chagrin ! Et, tout en me désignant la queue de Franck, elle poursuit d’un air amusé : viens mon bébé, viens prendre ta sucette, maman sait comment te consoler ! Viens, viens lécher ta grosse sucette ! Je suis dans un tel état d’excitation, et cette sensation d’humiliation me retourne tellement les sens, que je me dirige aussitôt, à quatre pattes, jusqu’au sexe de Franck. C’est comme si j’étais possédé et qu’une salope en moi, que j’ignorais jusqu’ici, venait de se réveiller et de prendre le contrôle de mon cerveau. Je n’ai qu’une envie : prendre la belle bite de Franck dans ma ...
    ... bouche. C’est autant le désir sexuel qui me motive, qu’une volonté incontrôlable de plaire au couple, de leur montrer que j’ai bien compris où est ma place et que je l’accepte : ils sont les dominants, je suis la lopette tout juste bonne à sucer la queue du mâle Alpha. Cette prise de conscience me procure une nouvelle vague de frissons : je me vautre sans retenue dans l’humiliation et la soumission. C’est terriblement bon et excitant ! Une fois que j’ai la queue de Franck dans la bouche, une grande plénitude m’envahit. Ça y est, je suis enfin à ma place... Katia, cette femme que je voulais baiser, m’a en réalité révélé à moi-même : je ne suis pas de ceux qui baisent les femmes splendides, mais de ceux qui sucent leur mec. De moi-même, j’exécute des gestes de salope : je caresse les couilles de Franck, je passe ma main sur son ventre, j’embrasse sa queue sur toute sa hauteur… Je déguste la bonne chaleur du gros gland dans ma bouche. Le gland du mâle dominant. Je n’avais jamais encore goûté la queue d’un autre homme et la saveur, si elle me surprend au début, m’enivre peu à peu. J’adore sentir ma bouche se remplir de ce goût de mâle. J’adore être à quatre pattes, là, comme une grosse salope. J’éprouve un immense sentiment de gratitude envers le couple. Je ferais n’importe quoi pour eux. Katia, avec des gestes maternels, sèche les dernières larmes sur mes joues. Ses mains chaudes passent dans mes cheveux et sur ma nuque, comme pour me réconforter. — Chuuut, mon bébé, chuuut… ...