0206 Rien que toi, rien que moi.
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... regard, Jérém cherche désormais ce contact, comme s’il cherchait à savoir si je suis heureux). Soli ma guarda nel cuore chi c'è: io e te/Seuls, et dans nos cœurs il n’y a que toi et moi (Nos cœurs nous rassemblent, nous rapprochent…). Soli col tempo che si è fermato/Seuls, avec le temps qui s’est arrêté (Je perds la notion du temps… je voudrais tellement que les aiguilles des montres cessent de tourner et se figent à tout jamais sur cet instant de bonheur parfait). Soli però finalmente noi/Seuls, et enfin rien que nous deux Solo noi, solo noi./Rien que nous deux, rien que nous deux Enfin, nous voilà que tous les deux, loin de tout, libres de vivre notre amour à l’abri des regards qui jugent, qui méprisent. L’éloignement de notre quotidien libère nos envies, nos regards, nos gestes, nos caresses, nos baisers, non sentiments. Le simple contact de sa peau chaude embrase mon corps. « J’ai encore envie de toi, Jérém… ». « T’en as jamais assez, toi… » il se marre. « T’as vu ce que tu me fais ? T’as vu comment tu me fais l’amour ? ». « Je te fais l’amour comment ? » il m’interroge, le coquin. « Tu me fais l’amour comme un Dieu, tu me retournes comme une chaussette, tu me fais jouir comme un fou… ». Il me sourit, l’air fier de lui. J’adore quand la fierté s’affiche sur son visage. D’autant plus qu’aujourd’hui son petit sourire n’est plus seulement l’expression d’une fierté de petit macho fier de sa queue (même s’il y en reste quand-même un peu, et je kiffe ça), mais aussi et surtout ...
... le regard attendri d’un amant amoureux ravi de savoir que son partenaire est bien avec lui. « Qu’est-ce que tu es bon au lit, Jérém… ». « Tu me fais un effet de fou, Nico… ». Et une heure à peine après le fromage, je succombe à l’envie soudaine de le sucer à nouveau. « Fais pas ça Nico… ». Je n’écoute pas ses mots, mais mon envie : je continue à le sucer. « Tu vas me tuer… ». Non, j’ai juste envie de le faire jouir. Le fait est que j’ai inlassablement envie de l'avoir dans la bouche, de le sentir prendre son pied ; de l’avoir en moi, de le sentir, de le voir en train de faire l’amour. Jérém aussi semble avoir envie de moi comme jamais : alors, pourquoi me priver de goûter encore et encore au plaisir exquis, au bonheur immense, au privilège sans pareil de m’occuper de sa queue frémissante, frétillante et bien tendue ? Non, il n’y a aucune raison de me priver, de le priver de cela. Alors je continue d’astiquer sa queue dans le but de nous faire du bien à tous les deux. « On va jamais sortir du lit… » il considère, en se laissant rapidement ravir par le bonheur des sens. « On a un mois à rattraper… » je finis par lui répondre, tout en le branlant « alors, tant que tu ne déclares pas forfait, je n’arrêterai pas de te faire jouir… ». « Je crois que c’est toi qui vas me demander d'arrêter… » il me nargue. « Non, c’est toi qui vas me demander d'arrêter… » je le cherche à mon tour. « On verra ça… » il conclut, alors que je viens de le reprendre dans ma bouche. Le bogoss frissonne de ...