0206 Rien que toi, rien que moi.
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... l’idée de porter sur moi l’odeur de sa peau et de sa jouissance après l’amour, j’adore l’idée de porter son déo après la douche. Un instant plus tard, Jérém sort de la petite salle de bain, il avance dans le séjour, il approche du feu, très à l’aise avec sa nudité. « On fait quoi aujourd’hui ? » je lui demande. « On fait l’amour toute la journée… ». « Ah, ça c’est une bonne idée… ». « Coquin, va ! ». « C’est toi qui es coquin ! » je me marre. « Viens, on va faire un câlin… » il me lance, en regagnant le lit. Nous retournons au lit et nous recommençons à nous faire du bien. Pendant que nous faisons l’amour, un bruit de moteur approche de la petite maison ; Jérém stoppe net ses coups de reins, il lève la tête, il tend l’oreille, sans pour autant se déboîter de moi. « C’est la boulangère… » il me chuchote, tout en s’allongeant sur moi de tout son poids, et en tirant les draps sur nous ; puis, il me claque un bisou léger sur les lèvres et il me rassure « t’inquiète, elle va laisser le pain et elle va repartir… ». Je crève d’envie qu’il recommence à me faire l’amour, je crève d’envie de le voir, de le sentir venir en moi ; et pourtant je jouis de la simple présence de sa queue en moi. Un instant plus tard, ça tape à la porte. « T’es sûr que c’est elle ? ». « Certain… ». « Et si elle rentre ? ». « Elle ne va pas rentrer… ». En effet, j’entends trifouiller au niveau de la porte ; c’est là que je réalise soudainement la fonction du sac accroché à l’extérieur, sac que j’avais ...
... distraitement remarqué la veille en arrivant, sans penser à poser la question, accaparé comme je l’étais par le bonheur qui me secouait de fond en comble. Son corps sur le mien, sa peau brûlante contre la mienne, ses bras puissants autour de mon torse, sa queue toujours en moi ; j’adore me sentir dominé par les muscles, la masse, la puissance de mon fougueux jeune mâle. J’adore me sentir rempli par sa virilité. Dans le petit espace, dans cette proximité ultime sous les draps, j’entends le bruit de sa respiration, les battements de son corps ; je les entends et je le sens, car ces petits bruits de vie se transmettent de corps à corps, se propagent en moi, comme si nous ne faisions qu’un seul ; et l’odeur tiède et rassurant de sa peau, ainsi que le parfum entêtant de son déo, de notre déo, me fait tourner la tête et me met dans un état presque second. J’écarte un peu plus mes cuisses, je porte mes mains sur ses fesses musclées et je les attire vers mon entrejambe, pour qu’il s’enfonce bien à fond en moi. Le bogoss seconde et amplifie mon intention, et son gland avance de quelques millimètres supplémentaires entre mes fesses, ses abdos frottent contre mon gland, en provoquant des frissons géants. Je frémis de plaisir, je me sens au bord de l’orgasme, j’ai l’impression qu’il suffirait de quelques coups de reins pour me faire jouir. J’essaie de me contrôler, je prends une longue inspiration : j’attends avec impatience le moment où nous serons à nouveau « seuls », où nous pourrons ...