1. LES ÉBOUEURS.


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... chauffage central, mais les spécialistes en sont au devis qu’ils doivent me soumettre dans les jours prochains. C’est à ce moment qu’une frayeur me submerge, car je vois monter vers moi trois hommes qui par chance grace à leur tenue de travail que je reconnais, s’avèrent être les éboueurs. Je descends rapidement pour les recevoir et ils sont surpris que j’ouvre avant qu’ils ne frappent. • Je vous ai vus arriver, entré vite vous mettre au chaud. Deux des trois hommes me sont bien connus, car ils ramassent mes poubelles depuis des années sans que je les voie, car grace à la modernisation de ma ferme, je me lève toujours après leur passage. C’est grasse au calendrier qu’ils viennent m’offrir tous les ans et où je leur donne des étrennes que je les connais. Le plus drôle c’est qu’ils sont venus tous les trois, samedi dernier à quelques jours du premier jour de l’Année et où ils m’ont présenté leur nouveau voltigeur de 20 ans qui vient de remplacer leur ancien collègue parti en retraite. Je connais bien des choses sur eux suite à leur passage, car devant un verre de cidre de ma fabrication tiré de mon verger, je sais que le plus grand Louis est divorcé, à 54 ans et élève un fils de 15 ans, le chauffeur de la benne Christian 53 ans, marié avec deux enfants et le jeune célibataire avec une copine qu’il semble vouloir épouser l’été prochain. Je leur ai donné leur étrenne quoique l’administration postale pour rationaliser leur tournée m’ait envoyé une lettre me demandant de descendre ...
    ... mes poubelles au bord de la route nationale au pied de ma boîte aux lettres placée là depuis un an déjà à partir du 1er janvier. • Enlevez vos pelures et venez près de la cheminée seule endroit dans cette foutue maison où il fait chaud, le reste est une glacière. Ils enlèvent leurs blousons et leurs chaussures et veulent s’avancer auprès du feu sans enlever le reste. • Pas de fausse pudeur, on est entre adultes, vos pantalons sont trempés et vous allez me salir partout. Les deux anciens ôtent leurs pantalons et la tempête est tellement forte que même le bas de leur caleçon long est mouillé. Le plus jeune en fait de même mais enlève tout me montrant une verge d’une longueur extraordinaire pour moi qui n’est vu dans ma vie que celle de Lucien qui était moitié mon développé. Devant le feu de cheminée que je ravive laissant pointer un de mes seins, car lorsqu’ils sont arrivés, je sortais de mon lit bien chaud ou j’ai toujours couché dénudé. De suite je vois le regard concupiscent d’Étienne, le jeunot qui semble découvrir qu’une femme pouvait avoir une poitrine aussi développée que le mamelon qui vient de lui être présenté. Nul doute que sa copine doit posséder des œufs aux plats bien moins appétissants que les mangues que je possède. Sans hésiter plus longtemps les deux plus anciens sont en slip me montrant des paquets bien intéressant. À la fin de cette nuit dans un besoin de nous réchauffer, je le les fais se coucher en rang d’oignons tourné vers le feu qui crépite. Au sol des ...