LULU 2
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
... briller, être adulée, figurer à la une des revues. Alors, tu voudrais sacrifier un sort brillant à des règles destinées à maintenir les médiocres à leur place. Tu vaux beaucoup mieux ! - Non, pas ça ! Tu me troubles avec tes baisers dans le cou. - Il reste un fond de bouteille, il ne faut pas gaspiller, on partage ! A ta santé. Ils doivent vider leur verre. - Oh! Richard ! Tu m’avais promis… - Oui, mais je ne savais pas combien tu étais douée. Ce soir, il y a des dizaines d’hommes qui s’endorment en pensant à toi, à ton minou dévoilé et à ces seins si sensibles et les heureux mâles bandent ou se masturbent ! - Oh ! Tu crois ? Ta main me chatouille. Ah ! Richard. On ne devrait pas. J’ai sommeil ! - Juste un peu. Tu as sommeil ? Je vais te tenir éveillée. Viens contre moi. Sent-elle les caresses sur son dos découvert ? - Je ne connais rien de plus doux que la peau de tes seins. Ah ! Si, là, le haut des cuisses, si tu permets, je vais comparer. Exactement sous le sexe, la peau est toute lisse, toute fine. Au passage, son index a touché la vulve où le tissu est resté coincé. Il hume son doigt et prétend s’enivrer du nectar féminin. Barbara n’a plus la force de protester. Il entreprend de la déshabiller, l’empêche de chuter, arrache le soutien-gorge, fait passer les pieds au-dessus du ...
... string tombé sur les escarpins, l’embrasse à pleine bouche et agite en même temps une main sur le mont de Vénus, puis sur les bourrelets de la vulve. Elle est comme hypnotisée, ne proteste plus, se laisse faire, toucher, embrasser. La chambre est toute proche, elle le guide, bouche toujours prisonnière de celle du manager. Il continue à annoncer le programme à coups de « tu verras ». Elle y croit, elle veut bien, il l’allonge sur le lit, il se fraye un chemin entre les cuisses qui obéissent à la pression des mains. Après l’effeuillage volontaire en boîte, il ouvre les feuilles de la chatte. Je suis discrètement monté, de la porte, je constate que Richard n’aura pas eu besoin d’un mois pour arriver à ses fins. Au milieu de chaque grande lèvre, il appuie un pouce, tire sur les bords et découvre une large plage rose clair, toute humide en forme de losange : le sexe est grand ouvert. La bouche se précipite sur ce fruit succulent. La langue parcourt le large sillon de bas en haut, redescend, pointe sur le rond fripé de l‘anus, remplacée par un index curieux caché par l’ascension du visage sur l’ouverture béante. Un instant, la langue épaisse s’attarde sur l’entrée du vagin, puis bien étalée, elle répand sa salive sur toute la largeur du con, soumis au plaisir de cette caresse gourmande.