A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (1)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Nous voilà en route vers la ville ; le magasin de vêtements préféré de maman est situé dans la galerie du centre commercial où l’on va toujours faire les courses. Elle aime bien ce magasin : il y a de belles choses, et les prix sont raisonnables. Dans les rayons nous regardons, palpons, commentons, retournons, essayons grosso modo, critiquons, jugeons la coupe, la couleur ; enfin, des filles dans une boutique de fringues... Au bout d’un certain temps, avec les bras chargés de jupes, minijupes, robes, chemisiers, tee-shirts et sous vêtements, nous nous dirigeons vers les cabines d’essayage après un arrêt obligatoire à l’entrée des cabines. L’hôtesse nous accueille : — Bonjour, Mesdames ; vous allez bien ? nous demande-t-elle, avec un large sourire. — Bonjour ! Ça va bien, lui répond ma mère, — Bonjour, Madame. Je pose le tout sur le comptoir afin qu’elle puisse compter les vêtements. — C’est votre fille ? interroge-t-elle. — Oui : c’est Julie. — Heureuse de faire votre connaissance. — De même… « Je pense qu’elles ont l’air de se connaître, vu leur attitude. » Une fois ces mondanités accomplies, nous entrons dans une vaste cabine, je tire le rideau et suspends les vêtements aux portemanteaux ; une chance, il y en a plein. — On accrochera ceux qu’on garde sur ceux-là, dit-elle en en désignant les portemanteaux vides. — D’accord ! Et je commence à me déshabiller. Je me retrouve en soutif et culotte. Oui, j’ai mis une culotte : je ne m’imagine pas trop en string dans une cabine, ...
... quoique cela pourrait être excitant. Ma mère me tend une minijupe et un chemisier, et me regarde. — Tu m’enlèves ça, s’il te plaît, me dit-elle en tirant sur mes sous-vêtements. — Maman… Pas toute nue dans la cabine : et si quelqu’un pousse le rideau ? « Elle lit dans mes pensée ou quoi ? » — Si tu te rappelles, aujourd’hui c’est « TP ». Alors vas-y, enlève-moi tout ça ; tu as l’habitude d’être toute nue à la maison, donc cela ne devrait pas être trop difficile pour toi. Allez, à poil, ma belle ! Et puis si quelqu’un ouvre, il dira : « Oh, pardon ! » et c’est tout. Crois-moi : il ou elle sera plus gêné que toi. Malgré cette phrase censée me rassurer, mon estomac se noue… « Je voudrais bien la voir à ma place ; la vache, ça me fout les chocottes ! » Mais comme Manu et moi avons demandé des « TP », je me déshabille entièrement, et me voilà à poil dans la cabine d’essayage. Je me regarde dans le miroir, me tourne à gauche, à droite, me touche les fesses, les seins « Mouais… T’es pas mal, ma Julie ! » je me complimente. Je croise le regard de maman dans le miroir : elle sourit. J’ai l’impression que la situation l’amuse. Je commence à avoir chaud à la minette, je tremble un peu. — Tu as froid, ma chérie ? — Non, j’ai juste la trouille, mais à part ça tout va bien. Et ça te fait rire ? Je voudrais bien t’y voir, toi, à poil dans la cabine ! — T’inquiète, je l’ai déjà fait ; tu vas voir, tu ne le regretteras pas. Tu veux découvrir des trucs ? En voici un. Enfile ça, me dit-elle en ...