A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (1)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... envie de la revoir, celle-là ! » J’entre dans la cabine, retire tout (enfin, la minijupe et le chemisier) ; je suis à nouveau toute nue, et je repense à cette rencontre imprévue. Je ne peux m’empêcher de me toucher la minette : je suis trempée tellement je suis excitée par cette rencontre. Je m’essuie avec un mouchoir en papier. « Eh bien, si c’est ça son « TP », c’est réussi ! Ça m’a foutu une envie du diable… » J’essaie une jolie robe courte, noire, un peu fluide, dos nu ; le décolleté descend jusqu’au creux des reins. Dans le dos, une lanière transparente retient les bretelles ensemble. Si elle se décroche, cette foutue lanière que j’ai eu un peu de mal à accrocher, il est clair que la robe se retrouvera en bas en moins de deux. Comme je suis en train de me regarder dans le miroir, maman apparaît, des vêtements sur le bras. — Fais voir… Ah oui, dos nu sans soutien-gorge, c’est juste parfait. Tourne… Elle est fantastique ! Elle te plaît, au moins ? — Elle est magnifique ; mais il ne faut pas que la bretelle lâche, sinon… — Sinon tu te retrouves la robe aux pieds. — Oui, et les miches à l’air ! — Attends, je vais faire un test. Imagine que c’est Manu qui est à ma place. Je fais face à la glace ; elle se colle derrière moi, me passe les mains dans le dos. Je frissonne. Je nous regarde dans le miroir ; je suis bien. Je vois ses mains se glisser sous le tissu pour venir me toucher les seins, le ventre, puis elles glissent jusqu’à ma minette ; la robe ne bouge pas. J’ai peur que ...
... quelqu’un entre… Je ferme les yeux : comme ça, je ne le verrai pas. Elle retire ses mains, me met un truc sur les yeux – ça doit être unbandeau de sport – et me chuchote : — Garde les yeux fermés et laisse-toi faire. D’accord ? — Oui, mais… — Chuuuut, me souffle-t-elle. Je la sens s’écarter, puis elle défait le bouton-pression de la bretelle et me touche les fesses, puis ses mains remontent le long de mon dos, se glissent sous les bretelles de la robe et les écartent. Et voilà... « Je m’en doutais : la robe tombe toute seule, et me voilà une fois de plus à poil. Je pense que je vais passer plus de temps à poil qu’habillée, dans cette cabine ! » Elle s’est détachée de moi ; je ne la sens plus. Si. Elle se recolle à mon dos, ses tétons me caressent. « Elle a ouvert son chemisier pour me toucher ; c’est bon… » Ses mains m’emprisonnent les seins, les palpent, jouent avec les tétons. L’une d’elles descend sur mon ventre. Je frémis. Elle passe sur monpubis et s’infiltre entre mes jambes. Je commence à respirer fort, je suis trempée, je gémis en silence. Je bascule ma tête en arrière sur son épaule ; je respire son parfum qui m’enivre. « Ce n’est pas son parfum : ce n’est pas elle ! » — Maman, qu’est-ce que… Un « Chut » rassurant me parvient à l’oreille. « Si, c’est sa voix. Ouf, j’ai eu peur ; elle a changé de parfum. » Elle relâche son étreinte, me retourne, me plaque dos à la cloison de la cabine et me roule une pelle d’une force qui m’oblige à m’asseoir sur le petit banc accolé ...