A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (1)
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... à la cloison qui est froide. Une de ses mains me triture les seins ; les doigts de l’autre sont déjà dans mon vagin, vont et viennent, tournent à chaque passage sur mon point G. « Maintenant, je sais ce que c’est, et surtout ce qu’il va se passer… » Et ça se passe. L’orgasme arrive, une tornade comme à chaque fois, je me convulse, toujours prisonnière de ces mains, de cette bouche. Doucement je me calme ; la bouche se retire, vite remplacée par sa main qui m’interdit tout mouvement de la mâchoire : je ne peux rien dire, rien faire. Et puis c’est bien comme cela, je me laisse faire. Les doigts sortent de moi et remontent sur mon ventre ; ils sont tout mouillés. La main quitte ma bouche. Les doigts glissent sous le bandeau, le retirent. J’ouvre les yeux, et là c’est le choc, la stupeur : c’est la jeune dame de tout à l’heure ! Je veux dire quelque chose, mais je ne peux pas, je suis paralysée. — Bon anniversaire, Julie ! me dit-elle. — Julie, je te présente Marie ; une vieille amie, reprend ma mère. Je manque de m’étouffer tellement le choc est grand. Elles me donnent un baiser toutes les deux ; je n’arrive ni à parler, ni à me lever. Je tremble, j’ai les larmes aux yeux. Je ne sais pas pourquoi je suis dans cet état ; je n’ai pas peur, pas froid, je ne suis pas en colère. Par contre, je suis heureuse. Marie est devant moi, le chemisier grand ouvert, me montrant une belle paire de seins ronds et fermes ornés de deux tétons bien pointus. Maman est déjà toute nue en train ...
... d’essayer une tenue : le même ensemble minijupe et chemisier que le mien. — Toutes les deux, on dirait deux sœurs avec cet ensemble ! Un joli piercing au nombril, et ce sera parfait pour toi, Julie ; tu auras tous les garçons à tes pieds, tu peux me croire, me complimente Marie. — Je m’en fous, j’ai Manu. — Oui, je suis sûre qu’il appréciera ; elle à raison ! reprend ma mère. — Si tu veux, je te l’offre pour me faire pardonner ; je connais un très bon tatoueur, me propose-t-elle en exhibant celui qu’elle porte. — Bon, on termine nos essayages ? conclut maman. Marie reste avec nous pour donner son avis et fait le coursier pour changer ce qui ne va pas. Je demande à ma mère qui est Marie ; elle m’explique que c’est une vieille amie d’enfance. Au cours de nos essayages, Marie me demande : — Ça t’a plu, ce que je t’ai fait ? — Angoissant, mais c’était terrible, faire ça dans une cabine d’essayage… Oups ! Mais quel pied ! J’ai encore envie, c’est horrible. — Ça m’a fait plaisir de faire ta connaissance ; tu es comme ta mère : chaude et prête à tout, comme Alice, parce qu’elle… — Réserve-toi pour Manu, parce que quand tu va lui raconter en rentrant, à mon avis il va être déchaîné, coupe maman. — Ah bon… « J’en découvre, des choses… Je vais la cuisiner tout à l’heure, tu vas voir ! » Nos essayages sont terminés ; nous déposons à l’hôtesse ce que l’on ne prend pas. — Merci. Au revoir, à bientôt. — Au revoir, répondons-nous en chœur. — Julie ! Je me retourne. — Bon anniversaire… me dit ...