Une bonne bien mal éduquée
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
Collègues / Travail
fsoumise,
fdomine,
soubrette,
sm,
Lesbienne
fsoumisaf,
... savoir ce que tu faisais, je ne veux pas d’explications, rhabille-toi tout de suite, je veux pouvoir rentrer chez moi, c’est tout de même la moindre des choses…— Mais je… Ho… Pardon… Entrez, pardon… (Sa voix tremblait de honte, et les larmes n’étaient pas loin.)— Pour voir ce spectacle obscène et dégradant d’une jeune femme que je croyais pure en train de s’adonner à des plaisirs malsains chez moi ? Il n’en est pas question, rhabille-toi immédiatement ! Au bout de quelques minutes d’attente sur le palier, je suis revenue dans mon appartement et l’ai trouvée rhabillée, assise sur le canapé, les yeux baissés, son sac à main ramené sur ses genoux, les cuisses serrées et les joues écarlates de honte. J’ai pris mon ton le plus distant et le plus froid possible pour lui faire comprendre que l’époque où on rigolait ensemble à la terrasse des bars en commentant un film à l’eau de rose était vraiment très loin : — Rentre chez toi, petite impertinente. J’espère que tu n’imaginais pas terminer ton repassage en discutant de la pluie et du beau temps avec moi, après ce que tu viens de faire ! Je réfléchirai ce week-end aux suites que je donnerai à cette affaire, mais sache que tu m’as profondément déçue… Moi qui voyais en toi une jeune fille pure et honnête… La simple idée que tu as eu des pensées impures et malsaines chez moi, sur mon canapé, devant des photos de moi… Je ne sais même pas quoi dire… Je me suis arrangée pour ne pas être là les fois suivantes où elle est venue faire le ...
... ménage, lui laissant juste des petits mots très secs avec mes consignes concernant les tâches ménagères qu’elle devait effectuer… Au bout de quinze jours, je l’attendais chez moi jeudi matin, très maquillée avec un tailleur très strict que je ne mettais que lors des grandes occasions. Assise sur mon canapé, l’air moins sèche que la dernière fois, je l’attendais et, en tapotant le coussin à côté de moi, je lui ai fait comprendre qu’elle pouvait venir s’asseoir sur le canapé… — Charlotte, je t’attendais, j’ai bien réfléchi à ce qui s’est passé… (sur un ton volontairement maternel pour la remettre en confiance)— Oui madame, je vous demande pardon, si vous saviez comme j’ai honte et comme je suis désolée.— Je n’ai rien à faire de tes excuses, petite idiote. Tu as trahi ma confiance. Tout ça ne rime à rien, j’ai voulu te donner un coup de pouce… Un job d’appoint pour une petite étudiante de bonne famille et bien éduquée… Mais le moins que je puisse exiger de ma bonne, c’est qu’elle soit propre et ne soit pas complètement obsédée, totalement soumise à ses désirs obscènes… Ce que tu es, je suis désolée de te le dire… Je ne comprends même pas comment nous avons pu sympathiser… J’ai honte pour toi… Comment ai-je pu croire un seul instant que tu avais une bonne éducation ? Tu m’as bien trompée…— Oh pardon, madame, je suis désolée, madame, cela ne se reproduira plus…— Arrête de répéter toujours la même chose comme une enfant… Je t’ai attendue ce matin pour te dire que je vais chercher une ...