CAROLINE ET SON GENDRE
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... langue le plus profondément possible.Je n'ai pas aimé le goût, mais je n'ai pas eu à m'y attarder car de longues giclées de sperme ont inondé la vallée entre mes seins, ont coulé sur mon ventre pour, ensuite, aller se répandre sur les draps.Grégoire a continué à me sucer le clitoris jusqu'à ce qu'à mon tour, mon corps vibre et s'apaise, comblé.Mon gendre s'est retourné et m'a embrassée tendrement, je lui ai rendu ses baisers, sentant son membre à nouveau dur contre mon ventre.Je me suis déplacée légèrement et j'ai senti une tache humide et froide contre ma cuisse.J'ai soudain réalisé que j'étais en train de faire l'amour avec le mari de ma fille qui dormait dans la pièce à côté, dans mon propre lit conjugal.J'ai eu honte et je l'ai dit à Grégoire en me serrant contre lui. Cela l'a fait sourire :« Attends, ça va te passer, on a encore un peu de temps avant que Mélodie ne se réveille, écarte un peu tes cuisses, là, tu sens ma bite qui entre dans ta moule, elle est grosse, tu gémis, tu as envie que je m'enfonce encore plus… !– Oui mon chéri, mon amant, je te veux, tu m'as rendue amoureuse de toi, baise-moi, mon corps est à toi... ! »Ces paroles m'avaient échappé, mais je n'arrivais plus, je ne pouvais plus cacher à mon gendre que je ne pouvais plus me passer de ses caresses, de son contact physique, de ses attouchements.Et nous avons fait l'amour, lentement, face à face, nous couvrant de baisers, jusqu'à ce que nos deux corps, en symbiose, explosent dans la même jouissance.Il ...
... s'est levé et est sorti de la chambre, mon lit était dans un drôle d'état, les draps maculés de sperme, chiffonnés, sentant la sueur et l'amour. J'ai changé la literie aussitôt, de peur que Mélodie entre dans ma chambre.La journée s'est déroulée en diverses activités et à part quelques attouchements furtifs, je n'ai pu avoir aucun contact charnel avec mon amant et, même le soir, Mélodie est restée devant la télévision, m'empêchant de tenter quelques nouvelles caresses perverses.C'est dire si je me suis couchée complètement frustrée, le peu de temps qui me restait à côtoyer Grégoire me rendant tout contretemps insupportable...Je me suis réveillée tôt, dans les premières lueurs de l'aube, j'ai attendu, immobile, qu'Alban se lève et parte à son travail. Dès que j'ai entendu la porte d'entrée se refermer, je me suis couchée nue, sur le ventre, les jambes légèrement écartées, ma minette bien accessible pour la pine de Grégoire.La porte de ma chambre ne s'est pas ouverte, alors au bout d'un moment, je me suis levée, j'ai enfilé un long tee-shirt et je suis sortie de la chambre.Des gémissements en provenance de la chambre de ma fille ont attiré mon attention. Sur la pointe des pieds, sans faire de bruit, j'ai collé mon oreille à la porte. Aucun doute, Grégoire était en train de faire l'amour avec Mélodie, sa femme. Si je n'arrivais pas à comprendre leurs chuchotements, par contre les râles de ma fille ne faisaient aucun doute sur le plaisir qu'elle était en train de prendre.J'ai senti ...