1. CAROLINE ET SON GENDRE


    Datte: 09/11/2018, Catégories: Mature, Inceste / Tabou

    ... mon estomac se serrer de jalousie et de désir, je me suis retenue pour ne pas entrer dans la chambre, j'imaginais la grosse queue de mon gendre dans la chatte ou la bouche de ma fille et mon minou s'est mis à crier son besoin de caresses. J'ai mis ma main entre mes cuisses pour effleurer mon clitoris et mes lèvres, j'ai retenu un gémissement et je suis retournée dans ma chambre.Sur ma table de nuit, il y avait trois bougies de différentes grosseurs, je les avais achetées après avoir lu le roman « L'Angevine ». Alban trouvait ces bougies de mauvais goût, bien sûr, il ne savait pas l'usage que j'en faisais...Je me suis allongée sur le lit, j'ai pris la plus grosse, je ne l'utilisais pas souvent vu son diamètre de sept centimètres, mais il me fallait des sensations fortes, pour compenser ce qui se passait dans la chambre d'à côté.Je l'ai présentée sur l'ouverture de mon minou et je l'ai poussée tout doucement. Je pouvais contrôler la pénétration et je me décontractais au maximum pour laisser l'entrée de mon vagin se dilater.Mon petit chat a réussi à avaler la moitié de l'instrument, alors j'ai commencé à le faire glisser dans ma grotte, d'abord par de petits va-et-vient, puis avec beaucoup plus d'amplitude, au fur et à mesure que mon chaton s'habituait à l'intrusion et salivait de plaisir.Je me suis astiquée la minette pendant une heure, me retenant chaque fois que j'étais au bord de l'orgasme et la tête pleine des images de ma fille et de mon gendre, en train de faire ...
    ... l'amour.À la fin, n'y tenant plus, j'ai laissé mon corps savourer le fruit de mes caresses et éprouver un plaisir intense, mais sans commune mesure avec les jouissances que me dispensait Grégoire.J'ai repris lentement pied dans la réalité. Du bruit en provenance de la cuisine m'indiquait que Grégoire et Mélodie étaient déjà debout.J'ai lentement extrait la bougie de mon minou où elle était toujours plantée et je me suis levée pour rejoindre ma fille après avoir lavé la bougie toute mouillée de mes sécrétions.La journée s'écoula, horripilante, me mettant les nerfs à bout, Mélodie ne quittait pas Grégoire, l'embrassant, le caressant, lui montrant sa reconnaissance de femelle satisfaite.Impossible de rester seule un instant avec mon amant, impossible de lui dévoiler ma minette qui attendait nue sous ma robe qu'il s'occupe d'elle.Le lendemain, j'avais espoir que Grégoire me rejoigne après le départ d'Alban, espoir déçu car Mélodie s'était levée en même temps que son père et lui expliquait qu'ils avaient décidé, avec Grégoire, d'aller rendre visite à des amis à 150 km de Paris pour leur présenter le bébé.J'ai traîné toute la journée, n'ayant même pas le cœur à me masturber. Ils partaient le surlendemain et je me demandais si j'aurais encore l'occasion de m'offrir à mon amant.La nuit s'écoula lentement, je n'ai presque pas dormi, je me suis un peu caressée, discrètement pour ne pas réveiller Alban. Ce matin-là il avaitune réunion pas très loin de notre domicile, ce qui fait qu'il n'est pas ...