1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (1)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Après avoir tout juste atteint l’âge auquel on permet aux jeunes gens de voter, Markus était encore puceau. Ce n’était pas l’attrait pour les femmes qui lui manquait, mais la confiance en lui pour tenter de les séduire. Son physique ne l’aidait en rien : grand, très maigre, un peu voûté, et le visage grêlé d’un acné rebelle à tout traitement, son physique de post-adolescent dégingandé et peu dynamique n’inspirait pas naturellement le désir de la gent féminine. Il n’avait pas non plus une conversation ni un à-propos qui puisse compenser ce corps peu charmeur, et non qu’il fût particulièrement timide, mais il avait peur de paraître ridicule devant les filles, et pour cette raison il se tenait à distance. Pour autant, il vouait une véritable fascination pour tout ce qui porte jupon et corsage, qu’elles soient jouvencelles tout juste nubiles ou bien femmes matures, callipyges et bien en chair : toute créature féminine exerçait sur lui un attrait extrême. Depuis quelque temps, il avait abandonné sa passion pour les jeux vidéo pour celle, bien plus intéressante, de l’étude de l’anatomie du beau sexe qu’il avait étudié, et étudiait encore, avec passion au moyen des différents moyens qu’il trouvait, Internet et presse masculine, tout en se masturbant de manière compulsive. Quand, aux beaux jours, il distinguait, sur une belle de passage, le haut des seins émergeant d’un chemisier suffisamment échancré, il bandait. Quand les cuisses se dévoilaient progressivement à mesure que l’été se ...
    ... rapprochait, il bandait. Quand un T-shirt trop court révélait le bas du ventre, parfois jusqu’au nombril qu’un bijou indiscret éclairait pour séduire, il était séduit et il bandait. Quand un pantalon taille basse dévoilait une partie de la culotte, ou mieux du string autour de fesses roses et joliment charnues, il bandait pour cette croupe qu’il rêvait accueillante à ses mains baladeuses, sans oser aller plus loin pour ne pas risquer la gifle. Mais surtout, quand une femme se promenait pieds-nus ou chaussée de sandales aux fines lanières, exposant ce superbe organe que l’on appelle le pied, il ne se contentait pas de bander : sa verge rugissait à en trouer son caleçon, ses yeux sortaient de leurs orbites et la bave écumait à ses lèvres. Plus d’une lui avait demandé, surprise, la raison de son trouble soudain, et lui, confus, pivoine, ne savait que répondre à celle dont l’exposition des orteils exacerbait sa libido jusqu’à confiner à la folie. Sa vie fut transformée au cours d’une réunion de famille qui eut lieu en plein été. Le déjeuner se déroulait sous la tonnelle habillée d’un rosier grimpant, dans le vaste jardin de la propriété campagnarde de son grand-père. Sitôt le dessert terminé, dédaignant le café et ses interminables discussions d’adultes, les jeunes étaient allés s’égayer dans le parc qui était suffisamment étendu pour qu’on puisse s’amuser aux activités que l’on voulait à l’abri des regards parentaux. Ainsi, Markus surprit sa cousine Adrienne en compagnie de son ...
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