1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (1)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que sa langue se glissait habilement entre les orteils pour en nettoyer les moindre replis, les parfums de sueur féminine podale, oubliés depuis plusieurs millénaires, lui revenaient mystérieusement en mémoire : il se dit qu’il était né pour cela, et rien d’autre. Pour cette raison, il se remit à bander comme jamais. Il fit durer le plaisir un bon quart d’heure, peut-être plus. Les deux compagnes finirent par s’impatienter, et pour passer le temps reprirent leur tendre bouche-à-bouche, tandis que le garçon continuait à leur suçoter alternativement les pieds de l’une puis de l’autre. Il était comme un naufragé du désert brûlé par le désir, qu’il fallait abreuver encore et encore pour apaiser la soif dévorante de féminité. Enfin rassasié, il finit par relever la tête. — Nous ne connaissons pas bien les garçons, dit Zaza : montre-nous un peu ce que tu as entre les jambes. Il exhiba fièrement son phallus qui indiquait impeccablement midi, verge fine mais assez longue à l’extrémité de laquelle perlait l’odorante rosée de désir. Zaza le branla doucement d’une main, tandis que l’index d’Adrienne éprouvait, du bout de l’ongle, la résistance du méat violacé. La pression était un peu trop forte, et Markus, recula d’un pas. — Non, ne bouge pas, lui dit sévèrement sa cousine. Tu nous as promis de nous laisser faire tout ce que nous voulons de toi. Alors, tu dois tout endurer, sans te plaindre. — Tu crois qu’on va te caresser le braquemart jusqu’à te faire jouir, comme ça, ajouta Zaza ...
    ... en joignant le geste à la parole ? Eh bien, non. Au contraire, tu vas subir tout ce dont nous avons envie. Markus baissa les yeux, et promit : — Je ferai tout ce que vous me demanderez. — A la bonne heure. Alors, reste ici, à genoux, les mains sur la tête, et ne bouge pas d’un centimètre, en attendant que l’on revienne. Elles s’éclipsèrent aussitôt. Le garçon était terriblement excité ; il se demandait s’il n’était pas en train de rêver dans son lit, en priant pour ne pas se réveiller trop vite afin de vivre le songe jusqu’au bout. Les parents pouvaient surgir d’un instant à l’autre, et il aurait eu des difficultés à leur expliquer ce qu’il faisait là, seul, nu et bandant, dans une position de soumission. Heureusement, il n’en fut rien, car ce coin du parc était isolé, et les deux amantes revinrent bientôt munies de quelques accessoires : une pelote de ficelle et un sécateur. Adrienne préleva une fleur d’un rosier tandis que sa compagne attacha solidement le garçon par poignets et chevilles, sur le banc, allongé sur le dos, en lui disant : — Si tu penses que l’on va trop loin, tu n’auras qu’à dire "stop". Si tu dis cela, nous te laisserons tranquille. — Jamais je ne dirai ce mot. — C’est à toi de voir, mais j’espère bien que tu vas te montrer courageux, sinon je serai déçue. Zaza fit sentir au garçon la fleur écarlate, puissamment parfumée d’avoir été fraichement coupée, en la présentant juste sous son nez. — Tu aimes les roses, lui demanda-t-elle ? — Oui, celle-là est très ...
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