Aurélie 7
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
... darda son regard sur moi, guettant la faille. A aucun moment, je ne tournai la tête pour regarder autour de moi. Je savais qu’une telle impudence me vaudrait une punition. D’ailleurs, je me tenais bien droite, yeux baissés, les mains croisées dans le dos, à la surprise de la serveuse qui vint déposer les assiettes devant nous. J’attendis l’autorisation de ma maîtresse pour commencer à manger.A l’issue du repas, nous sortîmes. Au lieu de se rendre à la voiture, Véronique partit vers le fond du parking, là où un chemin s’enfonçait dans la forêt.Je la suivis en silence, les bras dans le dos, tête baissée. Au bout de quelques minutes, elle se retourna vers moi et me dit : Retire ta robe et donne-la-moi !Sans aucune hésitation, je me retrouvai nue et remis la robe à ma maîtresse. Ensuite, elle me fitsigne de passer devant elle. En marchant, je sentais son regard sur mes fesses et cela commença à m’exciter. Sais-tu où mène ce chemin, Cybèle ? Non, maîtresse, répondis-je sans me retourner. Nous sommes à l’opposé de l’endroit où tu t’es faite baiser hier !Le frisson qui parcourut mon corps ne lui échappa pas et elle reprit : Tu es vraiment une salope. Ça te plairait d’y retourner ? Comme il vous plaira, maîtresse ! Tu parles ! ce n’est pas moi qui me fais saillir, c’est toi ! Oui maîtresse. Tu es une véritable chienne en chaleur. Oui maîtresse ! Bien ! puisque tu es une chienne, je t’interdis de parler. Les chiens ne parlent pas, n’est-ce pas ?Je ne répondis pas à cette ...
... question piège, et elle continua : Deux choses, Cybèle. La première, une chienne ne porte pas de chaussures. La seconde, une chienne ne marche pas sur deux pieds. Donc, tu retires tes chaussures, tu marches à quatre pattes, et tu ne parles plus. Une chienne aboit pour se faire comprendre, compris ? Ouaf ! répondis-je en retirant mes chaussures et me mettant à quatre pattes.Je vis ma maîtresse jeter ma robe et mes chaussures dans le fossé, sur le côté du chemin. Je commençai à me déplacer à quatre pattes. Ce n’était pas douloureux, vu que le sol était sablonneux et je pris bien vite mes marques.Au bout de dix minutes de marche, je ressentis l’envie d’uriner. Je me dirigeai vers le bord du chemin, sous l’œil intrigué de Véronique. Lorsqu’elle comprit ce que je voulais, un sourire se dessina sur ses lèvres.Bien sûr, en tant que chienne, je ne pouvais pas m’accroupir. Aussi, je me redressai sur mes bras tendus et j’écartai les cuisses, talons aux fesses. Le jet ne tarda pas à jaillir, sous l’œil ironique de ma maîtresse. Je me soulageai ainsi, éclaboussant quelque peu mes pieds, les dernières gouttes ruisselants le long de mes fesses et mouillant mon anus. Ensuite, je repartis en gambadant.Véronique ramassa un morceau de bois et le lança devant elle, pas très loin. Je me précipitai pour le ramasser. Pour courir comme il faut, j’avais le cul plus haut que la tête, jambes tendues, ce qui fit rire ma maîtresse. J’avais conscience du ridicule de ma situation, et pourtant, ma chatte ...