Aurélie 7
Datte: 09/11/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
... était trempée. Je ramassai le morceau de bois avec les dents, souillant mea bouche avec le sable du sentier. Je fis demi-tour et vint le déposer aux pieds de Véronique, qui riait aux éclats. A plusieurs reprises elle relança le bâton. A chaque fois, j’allai le rechercher et le déposer à ses pieds. J’avais conscience du ridicule de ma course, le cul levé, la tête baissée. Je faisais en sorte d’écarter les cuisses, dans le but, tout d’abord de stabiliser ma course, mais aussi, d’exhiber carrément ma foufoune glabre et, j’en étais persuadée, l’anneau sombre de mon anus.En continuant ce jeu, je me rendis compte que je n’étais guère pressée de me rendre là où j’avais été baisée, hier encore. D’ailleurs, Véronique semblait avoir oublié cette perspective, puisqu’elle bifurqua vers un chemin transversal, continuant à lancer le bâton et me disant, en riant : Rapporte, Cybèle ! Va chercher !A chaque fois que je déposais le bâton devant elle, elle me caressait les cheveux, avant de ramasser le morceau de bois et le relancer.Le jeu dura encore quelques minutes, avant que Véronique le lance avec une vigueur encore inusitée jusqu’alors. Le morceau de bois décrivit une courbe haute et retomba en dehors du chemin, derrière un bosquet. Interloquée, je me retournai vers elle. Rapporte, Cybèle, vite !Je me dirigeai avec circonspection vers le lieu probable de la chute. J’eus beau explorer le bosquet des yeux, je ne vis pas le bâton. Je regardai vers ma maîtresse qui n’avait pas bougé et qui ...
... me fit signe d’avancer. Je descendis dans le talus et m’enfonçai doucement dans le taillis. Ne voyant toujours rien, je plaquai mon buste au sol. Enfin, je le vis. Il était debout, de l’autre côté du bosquet. J’en fis le tour et avançai la bouche pour le prendre.C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Je tournai la tête et vis un chien qui me fixait. C’était un chien magnifique, noir et feu, trop gros à mon goût. Je voulus me redresser, mais il gronda et montra les dents. Chaque mouvement que je faisais apportait la même réponse. Alors, je me résolus à rester à quatre pattes, attendant ses réactions.Là-bas, Véronique m’appelait : Cybèle, viens ma belle !J’allais l’appeler, de ma voix humaine, lorsque j’entendis une voix d’homme la héler. Je me fis toute petite et me tut, écoutant leur dialogue. Ah, bonjour ! Vous aussi, vous chercher votre chien ?Plusieurs secondes passèrent avant que je n’entende Véronique répondre. Oui, enfin, ma chienne ! je lui ai lancé un morceau de bois mais elle n’a pas l’air de le trouver. Cybèle ? Moi, c’est mon chien que je cherche, un superbe Beauceron. Voulez-vous que nous les cherchions ensemble ? D’accord ! j’ai lancé le bâton par là.Je les entendais approcher, mais je n’osais bouger à cause du chien. Soudain, il se déplaça sur ma gauche, hors de mon champ de vision. Le temps que je tourne la tête et je sentis une truffe fraîche se poser sur mes fesses. Une langue râpeuse commença à lécher ma raie, s’attardant sur ma chatte, la ...