1. La putain de Cassiopée


    Datte: 10/11/2018, Catégories: f, grp, frousses, Collègues / Travail nympho, grossexe, bizarre, neuneu, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, Oral fist, double, Partouze / Groupe humour, policier,

    ... mis en perspective avec l’historique des écoutes téléphoniques du maire et du shérif local, corrélées par les expertises météo mises en parallèle avec les rapports issus de 92 satellites différents…— Bref, désolé de vous couper, agent Sculder, mais vous savez quoi ?— Euh… rien… c’est pour ça que nous comptons sur vous !— Sur cette affaire, ajouta Mully, vous allez être notre cerveau.— Grâce à vous, notre enquête aboutira !— Oui, toute la nation compte sur vous !— Je touche combien ?— Euh…— OK, vous m’excuserez mais j’ai un tacot qui m’attend !— Un… tacot ? Je laissai plantés là les deux compères et allai rejoindre Angus qui m’attendait sagement aux côtés de son antiquité. — Hey, m’c’est Don ? C’est ça ? Moi c’est Angus, salut !— Oui, salut Angus, en effet c’est bien Don, enchanté. On rentre ?— Si t’veux on s’arrête pour boire d’l’alcool de maïs, j’connais le coin ! Je déclinai l’invitation, j’avais surtout envie de dormir, et puis certaines images de Blanche restaient dans mon esprit et j’avais bien besoin de m’astiquer le manche… Un soleil implacable inondait le comté de Cassiopée lorsque je me levai. Déterminé à avoir une conversation avec Cassidy, je déambulai longtemps dans la maison sans le trouver pour autant. Je finis par tomber sur Emma : — Monsieur Cassidy est sorti tôt ce matin, il inspecte les troupeaux. Si vous voulez, je vous fais seller un cheval ?— Non merci, j’ai passé l’âge de jouer aux cow-boys.— J’appelle Angus alors. Finalement, j’aurais dû accepter le ...
    ... cheval… Dans tous les cas, une demi-heure plus tard et après un sacré paquet de pérégrinations rythmées par les phrases sans suite d’Angus et les craquements de vieille mécanique, je rejoignais enfin Cassidy, debout aux côtés de son cheval, au sommet d’une petite élévation du terrain. Il contemplait un immense troupeau de vaches qui beuglaient à qui mieux mieux. Il me fit l’impression d’être un chef d’orchestre face à un philharmonique désaccordé. — Alors Monsieur Booth, l’enquête avance ? Dites-moi que vous avez progressé ! J’ai vu tout à l’heure un champ de céréales à moitié dévasté. La situation devient urgente !— J’ai parlé à cette Blanche la nuit dernière.— Je suppose qu’elle ne vous a rien dit… En parlant de conversation, j’en ai eu une ce matin avec un étrange couple habillé comme pour un enterrement.— Mully et Sculder ?— Je vois que vous savez de quoi je parle… J’aurais préféré que le FBI ne s’en mêle pas.— Et moi donc… Je ne supporte pas les intrusions étrangères dans mes enquêtes, je suis largement capable de faire face tout seul.— Je n’en doute pas un seul instant ! Mais ils m’ont dit qu’ils voudraient vous voir, ils ont encore des choses à vous dire apparemment. Ils sont au motel. Angus vous y emmènera. Après un nombre incalculable de « crac » et de « Moi c’Angus, toi t’es Don hein ? », la vieille ferraille sur roues me déposa devant un motel qui avait dû connaître ses heures de gloire dans les années 30. — Des trucs à faire, dit laconiquement Angus en ouvrant la ...
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