La putain de Cassiopée
Datte: 10/11/2018,
Catégories:
f,
grp,
frousses,
Collègues / Travail
nympho,
grossexe,
bizarre,
neuneu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
fist,
double,
Partouze / Groupe
humour,
policier,
... kilomètres à la ronde. Une impression de malaise me gagnait, sans que je sache trop pourquoi, et toutes ces années qui avaient fait de moi un détective extrêmement compétent et expérimenté me soufflaient qu’il se passait quelque chose d’anormal. Ma main se posa machinalement sur la crosse de mon arme pendant que je glissais prudemment un œil par la fenêtre… et je restai figé, transformé en statue par le spectacle qui s’offrait à moi. La pièce unique était minuscule, un lit, une table, une chaise et une vieille armoire occupaient tout l’espace, et sur le lit, dans la lueur tremblante des bougies, une femme était allongée. Une chevelure rousse flamboyante, longue et bouclée, s’étalait sur un oreiller et encadrait un visage lisse à l’âge indéfinissable. La femme était nue, les yeux clos, la poitrine plutôt petite et délicate se soulevait rapidement au rythme de sa respiration que je devinais saccadée, son ventre plat n’était que contractions et spasmes, ses cuisses à la peau laiteuse s’ouvraient largement autour de sa chatte hérissée de poils roux, totalement élargie par un immense gode d’une taille monstrueuse qui entrait et sortait de là à un rythme frénétique avec la facilité d’un couteau dans une motte de beurre fondue. Je restais totalement fasciné, incapable de la moindre réflexion, le regard figé sur l’entrejambe de la femme totalement transpercé par cet énorme objet qui allait et venait en elle et fouillait son intimité. Ma main s’écarta de la crosse de mon Colt et, ...
... oubliant toute prudence, je me dressai devant la fenêtre pour mieux contempler le spectacle. Les gémissements de la fille me parvenaient maintenant, expression d’un plaisir aussi intense qu’incontrôlable. Ses hanches se projetaient d’avant en arrière pour accompagner les mouvements du gode ; sa bouche entrouverte laissait échapper des sons de plus en plus forts ; sa poitrine aux tétons érigés vers le ciel se soulevait désormais de façon spasmodique ; et c’est seulement alors que je m’aperçus que le regard de la fille était rivé sur moi. Et quel regard ! Des yeux noirs comme l’ébène qui semblaient me transpercer et lire en moi, comme si la fille avait pu voir à travers mon corps. Un regard pétillant, malicieux, et un peu inquiétant aussi, dont je n’arrivais pas à me distraire. Je ne me contrôlais plus, malgré toute mon exceptionnelle force de caractère j’étais comme hypnotisé par les yeux sombres qui continuaient à me fixer. Sans réfléchir à ce que je faisais, je poussai la porte de la bicoque, ôtai ma veste, laissai tomber le Colt, enlevai ma chemise qui me collait à la peau, mes chaussures, mon pantalon et mon caleçon suivirent le mouvement, j’étais entièrement nu devant Blanche, la queue tendue comme jamais, le corps envahi par une chaleur étouffante qui n’avait rien à voir avec la température ambiante. J’avais perdu tout contrôle, l’esprit embrumé par le soulèvement saccadé de la poitrine de la fille, par la vision des cuisses grandes ouvertes, ce gode qui déformait sa chatte, ...