Gala du clic-clac de Paris - Histoires de Sexe

Gala du clic-clac de Paris

... chatouiller. Ce dernier, entre deux crises de rire, lui lâcha qu’il connaissait un autre genre de jeu. Mélanie sentit ses joues qui s’empourpraient, maudit le flux sanguin qui trahissait la pensée qu’elle avait depuis le début de la soirée. Vincent, voyant son amie gênée, la rassura et lui dit qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien. — C’est que tu es mon ami et, vois-tu, j’ai peur que ça change quelque chose à notre relation.— Voyons Mélanie ! Tu rigoles j’espère ? Surtout que ce soir, je te trouve particulièrement très attirante…— Moi aussi… je me trouve très attirante !— Cesse l’humour, petite comique, va ! Tu mériterais une punition…— Eh bien ça c’est nouveau ! Un gage, vas-y, je ferai tout ce que tu me demanderas, qu’on rigole ! Les verres parlaient plus car la lucidité laissait à douter. — Très bien, alors je voudrais que tu te déshabilles de manière sexy ! Mais attention, tu n’as pas le droit d’utiliser tes mains, mais moi, je peux t’aider… Elle rigolait, et après avoir misNo You Girls de Franz Ferdinand, elle commença à se dandiner, maladroitement certes, l’alcool la faisant chavirer. — Haha ! La veste c’est facile je peux, regarde. La veste tomba à ses pieds et elle la poussa. — Facile ! Maintenant, tu vas devoir m’aider Vinc’ !— Pas de soucis sans sushi, tu veux enlever quoi ?— Ma robe pardi ! Faut commencer par l’extérieur pour atteindre l’intérieur.— Oh, tu as une peau vachement douce ! fit-il en lui caressant du bout des doigts les épaules. Un frisson ...

... parcourut le corps de Mélanie, et Vincent comprit qu’elle ne devait pas avoir fait l’amour depuis plusieurs mois. Il en déduisit donc qu’elle devait être prête à réaliser beaucoup de choses. — Vincent, je… je dois te dire que si tu commences… tu me lanceras et ne pourras plus m’arrêter. Ça fait si longtemps que…— Chut, dit-il en lui posant un doigt sur la bouche. Elle était arrêtée de danser et se tenait debout, devant lui qui était assis sur le canapé. Vincent dit à Mélanie de se tourner pour qu’il puisse descendre la fermeture de cette forteresse qui empêchait cette vision de paradis et ses caresses d’ivresse. En sous-vêtements, elle paraissait si vulnérable, ce qui toucha Vincent et l’excita un peu plus… — J’adore la vue que j’ai tu sais Mél’, je ne te savais pas si coquette ! C’est vrai, regarde-moi un peu ces dessous affriolants.— J’aime me plaire, mais j’en fais pas profiter tout le monde, lança-t-elle alors que Vincent commençait à la prendre par la taille.— Dis-moi, est-ce qu’on pourrait éteindre la lampe ? J’aime, je trouve ça plus intime !— Comme tu veux, c’est toi que je désire et les alentours m’importent peu. Mélanie alla éteindre les lampes et se dirigea à tâtons pour retrouver son partenaire sexuel de la nuit. Ils s’installèrent dans le canapé clic-clac du salon et se faufilèrent sous le plaid. — Tu sais que j’ai toujours aussi froid ? lui chuchota-t-elle à l’oreille. Tu pourrais peut-être commencer à me réchauffer… Vincent descendit doucement en prenant soin ...