Gala du clic-clac de Paris - Histoires de Sexe

Gala du clic-clac de Paris

... d’effleurer les parties sensibles des femmes, qu’il connaissait si bien. Passer par le cou en caressant les seins du bout des doigts, descendre le long des hanches et s’arrêter à la limite du maillot. — Ça m’excite, fit Mélanie. Sa respiration s’accélérait. Il commença par poser un baiser au-dessus de ce boxer rouge. Puis, de gestes délicats, fit descendre ce tissu. Un parfum enivrant emplit ses narines, celui d’une fleur qui menait au plaisir. De deux doigts habiles et pendant deux minutes, il s’amusa avec son clitoris, ce qui mit les sens de Mélanie aux aguets. — Bien ! Attaquons les choses sérieuses, j’ai envie de m’abreuver. Mademoiselle, puis-je butiner votre pollen ? dit-il en riant.— Volontiers, monsieur ! Soirée porte ouverte ! Il commença par ouvrir cette fleur, puis par embrasser ses lèvres, tendrement, passionnément. Bien détendu, il inséra sa langue délicatement au bord de ce tunnel de passion. Puis plus profondément, arrachant à Mélanie des soupirs de plaisir. Elle se cambrait pour suivre le rythme de cette langue, et s’abandonna totalement. Premier orgasme, fulgurant. — Eh bien dis-moi ! Tu es une rapide.— Excuse-moi, je n’ai pas pu me retenir, tu manies si bien cette langue !— Voyons, à mon tour maintenant, lança-t-elle, un sourire coquin qui dansait sur son visage à la lumière de la lune. Elle descendit, enlevant le pantalon, le boxer, et découvrit le pénis, déjà au garde-à-vous. — ...

... C’est que je te fais de l’effet on dirait ! Mélanie posa quelques baisers le long de la verge, prit le bout du gland à la bouche. Puis plus loin, avec plus d’insistance. Elle arrachait des râles de plaisir à son compagnon. — Ça monte Mél’, ça monte !— Je peux avaler si tu veux… Et elle continua jusqu’à l’explosion, elle avalait, et avalait encore sans qu’il ne reste rien. Elle adorait simplement ; la sève coulait en elle… — Après ces délicieux amuse-bouche, attaquons le plat principal ! La position du missionnaire, simple mais tellement efficace leur convenait parfaitement. Mélanie se mit sur sa monture et enfourcha ce membre qui se glissa sans aucune difficulté dans son puits humide et étroit. De lents va-et-vient au rythme de caresses passionnelles. Puis, plus intensément toujours et toujours le plaisir qui monte. Lorsqu’ils furent à la limite de la jouissance, Vincent ralentit, voulant faire durer le plaisir. Ils rigolèrent, s’embrassant fougueusement, et ce jeu de langue les excitait. Ils accélérèrent, jusqu’à l’éclat. Se laissant aller l’un à l’autre. Un être dans l’autre. — Hummmmmmmm, firent-ils à l’unisson.— Merci Vincent, sache que si un jour tu t’ennuies encore… je suis là.— C’est plutôt à moi de dire ça ma belle, tu as été merveilleuse… Je jouis rarement de façon aussi intense.— Merci ! Je te retourne le compliment, fit-elle d’un sourire malicieux. On se le boit ce café ? Ils éclatèrent de rire…