1. Cousins..., cousines, tante ( 9)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    Le lendemain samedi, dernier jour seul avec Reb et ma tante… Il devait être tard, le soleil, suintant à travers la fenêtre, m’aveuglait.Ouvrant les yeux entièrement, je sursautai… Devant moi, assise sur le lit, ma cousine jouant avec ma demi-molle, à l’enrouler autour de ses doigts. Elle ne put le faire longtemps, car aussitôt, l’érection qui s’ensuivit, l’empêcha de continuer son jeu naïf. Bon, on va dire, pour ne pas vexer la jeune fille, que c’est une érection du matin, due à l’envie de faire pipi… Aussitôt, Rebecca me relâcha, comme si elle s’était brûlée…Elle prit un air suspicieux, et m’interrogea :– Dis donc cousin, c’est bien toi qui m’a mise au lit cette nuit… ? .. Ma mère m’a assuré que tu m’as portée, seul… .. Quand on me crache sur les dents du fond, j’aime être consentante et réveillée… ! .. Non…, donc, comment expliques-tu, qu’en me réveillant ce matin, j’avais un goût pâteux dans la bouche et un liquide couleur anis encore coincé dans une dent creuse… ? .. De plus, le goût étaitt pratiquement le même que celui que Monsieur m’avait inoculé dans l’après midi, juste avant que n’arrive ma mère… .. C’était ma première turlute…, je n’oublierai jamais le goût de ce jus de couilles gouleyant entre mes amygdales… ! Espèce de gros cochon !!! .. Mais je ne t’en veux pas, bien au contraire…, je me suis sentie femme ! .. Ah…, au fait, ce soir, c’est la dernière nuit et je devrais avoir mes règles dimanche ou lundi…, tu veux bien que l’on se dépucelle ensemble… ? .. Ce sera ...
    ... un souvenir extra…, non ?– Je te rejoindrai, dés que maman dormira et tu me mettras ta grosse bite bien au fond de ma grosse chatounette, tu veux bien ?Je répondis au deux questions :« Ben…pour le goût, je pense que t’as dû faire un renvoi de la pipe que tu m’avais faite avant…, enfin, sûrement… ! .. Pour le dépucelage…, Ok…, mais, attends bien que ma tante dorme… !Ma cousine se pencha sur mon gland, le prit en bouche et me suça tellement fort, qu’un cri m’échappa du plus profond de mes balloches… Ma tante hurla de la cuisine :– C’est prêt les enfants…, moi, j’ai déjà déjeuné…, je vais à la piscine !Nous descendîmes, ma cousine, assise près de moi, d’une main trempait sa tartine, de l’autre me tartinait les couilles sans relâche, en m’adressant son sourire d’ingénue constipée. Après le repas de midi, les filles s’en allèrent, disant qu’elles avaient à faire dans la salle de bains, mais revinrent très vite. Ma tante avait l’air ennuyée, et brandissait un rasoir et des ciseaux, tandis que ma cousine, baladait un blaireau et une bombe de savon à raser. Ma tante plaça sa touffe devant mes yeux, me cachant tout le soleil et faisant une moue inconsolable, faisant cracher sans même bander la bite d’un centenaire amorphe et asthmatique :– Dis mon neveu…, ta cousine se sent incapable de me raser la vulve…, toi, tu te rases déjà, tu ne veux pas me le faire ? .. Allez…, un bon geste, tu pourras te rincer l’œil…, et même les deux !J’eus beau jurer n’avoir jamais fait la chose, les filles ...
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