1. Cousins..., cousines, tante ( 9)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Mature, Partouze / Groupe Inceste / Tabou

    ... me jetèrent les instruments et s’allongèrent côtes à côtes, jambes pliées, offrant ce qu’elles avaient de plus tendre à mon regard. Nath, comme si je lui coupais un ongle incarné, me dirigeait…– Voilà…, c’est bien, coupe avec les ciseaux avant, les poils les plus longs et n’oublie pas mon anus, ça fait pas propre, sinon… .. Si je chope un mec bientôt, j’aurai la honte avec le cul tout poilu… ! .. D’ailleurs, faut que j’y pense…, ça fait bien un mois que je n’ai pas été mise au taureau… ! .. Et avec ta grosse queue toujours au garde à vous, je dois reconnaître, que ça me démange au fond de l’utérus… !Cela fit rire mes deux salopes…Je finis le travail et la chatte de ma tante m’apparut telle une constellation au milieu du néant… Son clito était au moins trois, voire quatre fois plus long et plus gros que celui de sa fille et sa fente, me paraissait pouvoir contenir une dizaine de bites comme la mienne et sans chausse-pied. J’allais me lever, quand Rebecca réclama :– Ben…, et moi ? J’ai les poils qui repoussent déjà, tu veux bien me savonner et me passer un coup de rasoir ?Bon je n’en voyais pas l’utilité, mais j’obéis, N’allait elle pas faire de moi un homme cette nuit ? Une fois terminé, les deux commères se montrèrent l’une à l’autre, afin d’admirer mon œuvre et se félicitèrent d’avoir choisi un merlan à la hauteur. Maintenant, elles n’avaient plus de raisons de se gêner et elles gisaient sur leur serviette, les cuisses largement ouvertes, me narguant de leur intimité osée. ...
    ... Merci pour mes couilles…, elles ballottaient dans leur jus sous pression. Arriva le soir, ma tante alla se coucher, tandis que ma cousine, me suivit jusqu’au pas de ma porte… Elle me donna une tape appuyée sur les fesses et me susurra :– À toute, grosse bite, dès que ma vieille dort, j’arrive, je te suce avant de m’enfourcher pour une cavalcade historique !J’attendis…, j’attendis…, j’attendis et à la fin, m’endormis.Je fus tiré des nuages par une sensation bizarre, mais agréable tout de même… De toute évidence, une bouche assoiffée, me labourait la queue avec ferveur et abnégation. Y avait pas à dire…, ma cousine tenait vraiment à ce que je bande à mort afin de lui exploser la chatte… Elle me fit un truc à me faire ouvrir les yeux, et à lui prendre la tête entre les mains, pour qu’elle continue :– Ooohhh…, Reb, putain, t’es devenu pro ou quoi ? Si tu continues, mes couilles vont gicler en même temps que mon jus…, wahouu !!! Ralentis ou j’hurle !La réponse me stupéfia et si la caresse qui m’était donnée à l’instant n’était pas féerique, onirique et homérique, j’aurais sûrement débandé… :– Bonsoir mon neveu…, hé non, ce n’est pas ma fille… déçu ?Elle reprit aussitôt son examen oral et j’abandonnai aussitôt, le rendez-vous de ma cousine.Sa langue s’enfourcha dans mon trou de balle et je crus défaillir… En fait, je ne pense pas avoir perdu au change. Elle la fit glisser le long de ma queue, elle s’assied sur mon bas-ventre, et m’exhibant ma propre verge, elle murmura :– T’as vu…, ...