Un petit tour de passe-passe sur un matelas
Datte: 12/11/2018,
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... grands et je vous imagine en train de me regarder. Pas de blague, ne partez pas, j’aime bien. —oooOooo— — Je peux faire quelque chose pour vous, Madame ?— Mais non ! Enfin, vous oui, mais pas eux, ceux qui occupent mes pensées et qui ne sont même pas là. Aïe, aïe, aïe je m’embrouille. Il fronce les sourcils sans rien dire. J’ai l’air de quoi maintenant, allongée sous le vendeur qui s’est penché au-dessus de moi pour me questionner. C’est seulement à ce moment que je le regarde vraiment. Et là, et là… — Et vous, que puis-je faire pour vous ?— Répondre à ma question tout d’abord.— Bien sûr on va commencer par ça. Croyez-moi ou non, mais quand je lui demande : « Vous n’avez pas le même en plus large ? », c’est une petite victoire de le voir rougir. Pas très difficile en réalité, sans me vanter. Voilà comment je m’y suis prise : allongée de tout mon long avec mes pieds encore chaussés posés sur le plastique qui protège le matelas, jambes jointes, je tends les bras en croix et je bouge mes mains en caressant de chaque côté le tissu blanc et doux. Et je rajoute d’une voix amusée : « J’aimerais bien le même en vraiment beaucoup plus large de telle manière que deux hommes allongés de chaque côté sur les bords du lit puissent me prendre par la main sans que je resserre mes bras ». Au culot ! Et patatras, le sourire se transforme en rire. — Deux feraient bien l’affaire pour une si grande largesse, dit-il en faisant semblant de reprendre son sérieux. Je parle des lits.— Moi aussi, je ...
... parle délits. Mes yeux se plantent dans les siens. Quand je deviens ainsi, je sais très bien que de marrons ils virent au sombre et brillent d’une manière étonnante. Une fois de plus j’en joue. Nos regards s’accrochent et se mettent au défi de faire céder l’un des deux. Je me régale sachant qu’aucun de nous ne lâchera la place. — Et vous les voulez pour quand ?— Pour ce soir. C’est mon anniversaire.— Et vous allez souffler combien de bougies, si cela n’est pas indiscret ?— Je viens de vous le dire, deux me suffisent et je les attends. J’espère qu’il a compris de quoi je veux parler. Le temps me paraît long et les secondes s’allongent. Mais je me montre à l’aise, nullement embarrassée. Et de manière tout à fait naturelle, sans aucune provocation, je me mets assise sur le lit puis je glisse mes fesses jusqu’au bord afin de me remettre debout. Puis de la main je balaye les volants de ma jupe. Aucune inquiétude ils ne sont pas froissés même s’ils se sont retroussés en me déplaçant ainsi. Je fais le tour du lit, une fois, puis encore une fois pour lui laisser le temps de réfléchir et de comprendre. — Très bien. J’ai ce qu’il vous faut. Je fais la fermeture du magasin dans une heure.— À 19 h 30 ? Et avec votre numéro de portable sur un petit papier, c’est possible ? J’accompagne ma demande en me déplaçant vers le comptoir et il me suit. Oh là là que je suis contente, émoustillée, salivante d’envie et mouillée de désir ! Vous devinez bien que je ne veux pas qu’il s’en rende compte. Au ...