1. Un garçon à l'école de sage-femme


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... abdiqué après 2 ou trois allers-retours et lui ai dit que c’était trop douloureux, qu’il me faisait trop mal. Il n’a pas insisté et s’est retiré, déçu. Je n’ai pas voulu le laisser comme ça et comme Cloé, je j’ai amené à la jouissance avec mes mains et ma bouche. Et la, le miracle s’est reproduit. Quand il a atteint l’orgasme, un formidable jet m’a copieusement crépit le visage. Comme je connaissais le loustic par les dire de Cloé, je l’ai astiqué de plus belle pour connaître la plus longue éjaculation de ma vie de femme. Quel phénomène ! Je n’ai pas arrêté ma branlette malgré qu’il se soit tari après de nombreuses explosions de sperme pour voir si ce que m’avait affirmé Cloé était vrai. Et quelques minutes plus tard, sa lance s’est réamorcée. Je l’ai chronométré, il lui a fallu 80 secondes pour se tarir. J’ai continué pour avoir mon 3ème tribu. Il lui fallait plus de 20 secondes entre chaque crache. Du jamais vu ! Je vous dis pas comment (radio sage-femme) a répandu l’info sur les ondes. Dans les mois qui ont suivis, un grand nombre de mes futures collègues ont expérimenté la tête chercheuse au bout de ce jonc vigoureux. Un tableau des records s’est créé, de celle qui arrivait à absorber le plus de cette formidable flamberge ou de celle qui arrivait à tirer le plus de jus de ce colosse ou encore celle qui avait obtenu le plus de rappel avant que le braquemard ne rende les armes. Et les commentaires et informations qui en ont suivis. Diesel, (c’est le surnom dont on l’avait ...
    ... affublé entre nous) a connu un nombre non défini de chattes et de bouches qui ont toutes voulu (expérimenter) ce gros dard. Ventiane, qui est d’origine asiatique nous a même avoué qu’elle n’avait pas pu prendre son gland en bouche, ne pouvant en goûter que le museau mais que ses mains avaient quand même réussi à déclencher le feu d’artifice qui fait la réputation de Claude. Pierrette, une martiniquaise, est pratiquement la seule qui soit arrivé à le supporter en elle. Elle nous a raconté son exploit : -Vous savez, nous dans les îles, on est habituées aux gros gabarits. Je dois quand même dire que Claude dépasse de loin tout ce que j’ai connu. J’ai bien réussi à gober une quinzaine de centimètres dans ma bouche mais quand son gland a obstrué ma trachée, il a bien fallu que je m’avoue vaincue. Quel pal ! Mais quel pied j’ai pris quand son rostre s’est tracé un chemin dans ma fente, m’a écarté les muqueuses pour prendre possession de ma grotte, mon vagin épousait au plus près son bélier à la tête formidable qui a exploré des zones jamais défrichées par la gente masculine. Je n’ai jamais été limée aussi longtemps et n’ai pas voulu qu’il se retire quand il a éjaculé, il m’a rempli à 3 reprises en moins d’un quart d’heure. Et je peux vous dire que ça fait drôle de sentir un homme se vider en vous pendant un temps qui n’en fini pas. Je n’ai pas voulu en rester là et j’ai repris en bouche son chibre pour en extraire encore du jus pendant que ma chatte se vidait sur mes cuisses en de ...