1. Un garçon à l'école de sage-femme


    Datte: 12/11/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... longues trainées blanchâtres. Il m’a de nouveau donné son tribut après un long moment, exténué, mais je n’ai pas accepté de voir son engin baisser la tête. Je me suis escrimée un bon bout de temps avant qu’il ne reprenne de la vigueur et encore plus avant, pour la 5ème fois, vider ses couilles. Je n’ai obtenu que 3 malheureuses craches par rapport à ce qu’il nous a habitué mais qui feraient pourtant le bonheur de pas mal de mâles, espacées de pratiquement 2 minutes entre elles. Je crois que je suis la seule qui n’ait pas cédée à mes plus bas instincts. Il faut dire qu’il se comporte différemment avec moi, il est attentionné, plein de prévenance. Je suis pour lui une soupape de lucidité et d’amitié dans ce troupeau de femmes en rut. ------------------------------------- Nous avons finis nos études et par les hasards de la vie, nous sommes retrouvés dans le même hôpital 7 ans plus tard. Nous nous sommes fréquentés, nous nous sommes mariés et il est le père de nos deux enfants. Et j’ai à ma disposition tous les jours que Dieu fait, cette belle queue de champignon avec son gros chapeau. Notre premier rendez-vous était plein d’appréhension après les souvenirs des histoires qui le concernaient. En plus avec les années, le frêle jeune homme est devenu un homme robuste. La première fois que nous nous sommes retrouvés dans le plus simple appareil, j’ai enfin pu mettre une image sur les fantasmes que je me suis inventés. J’avais enfin sous les yeux l’objet de tant de convoitises de ...
    ... mes anciennes voisines d’étude. Je ne sais pas s’il s’est aussi développé de ce coté là mais j’ai pris peur. Avec beaucoup de gentillesse et de douceur, il m’a rassuré et s’est montré plein de bienveillance pour que je laisse tomber mes appréhensions. Je n’étais plus, moi aussi une oie blanche et me suis saisis de cette colonne de chair terminée par ce chapiteau si célèbre. Mes lèvres en ont gouté le suc et la consistance de granit sous une peau de velours, je n’ai pu comme les autres n’en apprécier que quelques centimètres. Il m’a pendant de longues minutes amené au nirvana sous ses caresses et ses coups de langues avant que l’on passe à l’acte. Il m’a rassuré, se couchant sur le lit en me disant : -Je te laisse faire, fais comme tu le désire, je respecterai ton choix, je sais que certaines femmes ne veulent pas aller plus loin. Je me suis mise à genoux, une jambe de chaque coté de son corps, j’ai pris sa verge couchée sur son ventre pour la frotter plusieurs fois sur ma vulve. Doucement, très doucement, j’ai plié les genoux faisant peser mon corps sur ce gland disproportionné. L’intromission de cet intrus entre mes grandes lèvres puis les premiers centimètres dans mon vagin m’ont rappelé mon dépucelage en encore plus douloureux. Pendant de longues secondes, je ne bouge plus, indécise, mais me coinçant la lèvre inférieure entre les dents, je reprends l’intromission. Centimètre après centimètre, le gland trigonocéphale remonte ma gaine de velours, repoussant devant lui mes ...