Une curiosité de provinciale
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grosseins,
fépilée,
fête,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
historique,
historiqu,
... alors.— Est-ce bien nécessaire, Maîtresse ? Je vous trouve si belle dans ce négligé.— Petite vicieuse : ce négligé ne cache rien de mon corps : je suis plus nue que nue— Ne vous préoccupez pas de cela. Votre mère est seule, vous savez. Elle trouvera grand plaisir à découvrir chez sa fille un corps si bien fait.— Crois-tu que je puis oser me présenter à elle aussi dévêtue ?— Croyez-vous qu’elle soit du genre à s’en offusquer ?— Que veux-tu dire ? » Caroline devine déjà qu’elle va vivre ici des aventures encore bien plus palpitantes qu’à Rennes. Elle savoure le plaisir d’écouter la soubrette lui dévoiler petit à petit ce qui se passe dans la maison de Paris. « Je ne sais comment votre mère se comporte lorsqu’elle vient à Rennes, mais ici, à Paris, règne une atmosphère très… libre. — Très libre ?— Je veux dire, ici, en tout cas dans cette maison, la fausse pudeur n’est pas de mise. Je sais que dans certaines maisons, même le mari n’a jamais vu son épouse dans le plus simple appareil. Mais, Dieu soit loué, votre mère est d’un esprit large et a toujours voulu s’entourer de personnes tolérantes. Croyez-vous qu’elle dissimule sa nudité devant moi ?— Tu l’as déjà vue nue ?— Y a-t-il quelque mal à cela ?— Et elle, t’a-t-elle déjà vue nue ?— Devrais-je réserver à vous seule la vision de mon corps ?— Tu le montres donc à tout le monde, espèce de petite garce !— Bien sûr, pourquoi en aurais-je honte ? J’en suis fière, de mon corps !— Et tu le montres même… aux hommes ?— Comme ils me ...
... montrent le leur…— Et ma mère, elle se montre nue à tout le monde ?— Pas à tout le monde sans doute, mais elle ne se gêne certainement pas par rapport aux gens qui habitent ici. Après tout, c’est une très jolie femme, elle a un corps superbe qu’il serait dommage de cacher.— Ne me dis quand-même pas qu’elle se montre nue devant le valet ?— Quel valet ? » Caroline se rend compte à temps qu’elle allait commettre un impair et laisser deviner à la soubrette qu’elle l’avait vue se faire baiser par le valet dans la cuisine. « Ben, euh… il y a bien un valet ou l’autre dans cette maison ? — Oui bien sûr, il y a le laquais, les deux valets…— Et, ils se promènent parfois nus aussi ?— Je veux, oui, de si beaux hommes ! Ce serait grand dommage, de nous priver du spectacle.— Elodie !— Vous verrez vous-même, mademoiselle, et vous me direz franchement et ouvertement ce que vous en pensez. Pour l’heure, et quelle qu’intéressante soit cette discussion, je pense que nous devrions rejoindre la chambre de votre mère. » Elodie lui saisit la main. Caroline apprécie le contact, doux et tendre. Et se laisse mener jusqu’à la chambre de sa mère. Celle-ci les attend, debout devant sa fenêtre, revêtue d’une fine chemise de nuit. Le contre-jour laisse deviner sa silhouette élégante. Elle a décidément un joli corps, se dit Caroline. Elle est grande, fine, plus élancée que sa fille. Elle est déjà coiffée, et semble encore un peu lasse des excès de la veille : ses traits sont tirés, sa peau pâle. Mais ses yeux ...