Une curiosité de provinciale
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ffh,
inconnu,
grosseins,
fépilée,
fête,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
historique,
historiqu,
... dans la glace. La robe est très élégante. Les belles épaules sont nues, la taille très serrée. Le corset est très ajusté : ses seins frémissants ont tendance à s’en échapper, il ne manque pas grand chose pour qu’on voie apparaître ses tétons. Elle surprend dans le miroir le regard qu’ont échangé derrière elle Elodie et sa mère, puis elle voit comment Elodie, subjuguée, ne peut détacher son regard de sa poitrine. « Très bien, je ne sais pas s’il faut changer quelque chose. Si, bien sûr, il faudra compléter tout cela avec des bas, des escarpins, des bijoux. — Madame souhaite-t-elle que je termine cela avec sa fille dans sa chambre ?— Bonne idée, faites à votre aise, trouvez-lui de jolis bas et de jolis escarpins. Nous nous retrouverons sur la terrasse pour le déjeuner. » Elodie emmène Caroline à sa chambre. En chemin, elles croisent le valet, celui qui ce matin a sauté la soubrette sur la table de la cuisine. Il ne peut détacher ses yeux du décolleté de Caroline. Il faut dire qu’à chaque pas, ses nichons tressautent, et semblent devoir s’échapper du corset tant ils y sont compressés. Caroline baisse les yeux vers l’entrejambe du valet. Son sexe et ses testicules, comprimés par une culotte moulante, lui semblent énormes. Elle se jure d’en découvrir les charmes avant la fin de la semaine. Les jeunes femmes continuent leur chemin. À peine la porte de la chambre refermée derrière elles, Elodie saute sur sa maîtresse pour l’embrasser fougueusement. Caroline doit la calmer : « ...
... Allons, Elodie, qu’est-ce qui te prend ? — Maîtresse, vous êtes si excitante dans cette robe.— Peut-être, mais nous devons nous calmer un peu. Notre petit jeu dans la cuisine ne t’a-t-il donc point rassasiée ?— Jamais je ne me fatiguerai de votre corps. Pardonnez-moi ! Je sens que je suis tombée amoureuse de vous.— Voyons, Elodie, ne tombez jamais amoureuse de quelqu’un, c’est dangereux. Aimez, baisez, embrassez, prenez, léchez, branlez, faites-vous enculer, faites tout ce que vous voulez, mais ne tombez jamais amoureuse. De personne. Et surtout pas de moi. » Tout en disant cela, Caroline est envahie du plaisir de se savoir désirée par la jeune femme. Elle s’attriste de devoir la rabrouer ainsi. Mais elle a peur de se laisser submerger par une passion qu’elle ne pourrait pas elle-même maîtriser. Caroline se défait de l’étreinte de sa servante, et se dirige vers la garde-robe pour se regarder à nouveau dans le miroir. Décidément, cette robe est très jolie, et la met bien en valeur. À Rennes, jamais elle n’a eu de vêtement aussi élégant. Elle tourne sur elle-même pour se contempler sous toutes les coutures. La robe dénude les épaules, serre la taille, et met bien en valeur sa poitrine. « Qu’en penses-tu ? Cette robe me fera-t-elle briller à la Cour ? — Elle vous va à ravir. Mais je ne sais s’il suffit d’une robe pour briller.— Parle-moi de la Cour. As-tu déjà été à Versailles ?— Bien sûr, j’y ai déjà été pour accompagner votre mère.— Je ne savais pas que les soubrettes y étaient ...