1. Une curiosité de provinciale


    Datte: 13/11/2018, Catégories: ffh, inconnu, grosseins, fépilée, fête, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral historique, historiqu,

    ... reflet dans le miroir l’excite. « Oui, vas-y, j’aime qu’on me touche mes seins, tu sais. Mes seins dont je suis si fière. Mes beaux gros seins. Mmh c’est bon. Continue donc à raconter. — Il y avait là plusieurs femmes. Elles avaient bu du vin, elles étaient déjà un peu ivres, les yeux brillants, les joues roses.— Parle-moi aussi des hommes, pas seulement des femmes.— Les hommes aussi avaient un peu trop bu, du moins certains. Comme je vous l’ai dit, j’attendais avec le valet et l’autre soubrette. Nous étions nus. Le valet avait été fort émoustillé par la danse de votre mère. Sa nudité nous avait révélé son émoi : il avait le sexe dressé, et ne parvenait pas à le cacher derrière ses deux mains. L’autre soubrette, une chaude brune avec de jolis petits seins – je la connaissais, elle servait chez le Prince de Montherme – avait été fort attirée par ce phallus appétissant. Pendant que nous regardions votre mère, elle s’était placée à côté du valet, s’était emparée de son sexe et avait commencé à le branler, sans même le regarder. Ils étaient dans mon dos, je sentais leur souffle chaud près de moi, je percevais les mouvements de la main qui allait et venait sur le membre dressé. Je ne savais plus que faire : continuer à regarder le spectacle de votre mère dansant sur le parquet, ou me retourner et observer mes compagnons dont l’excitation commençait à monter. Que votre mère me pardonne, mais j’avais vraiment envie de voir ce que ces deux-là allaient faire. Je quittai la lucarne, ...
    ... pour m’asseoir sur le divan. « L’autre soubrette me regardait étrangement, sans cesser de caresser le sexe qu’elle tenait dans sa main. J’écartai les jambes pour bien lui montrer ma propre excitation, et je commençai à me caresser en les regardant. Mon attitude l’encouragea. Elle s’accroupit face au valet, sans cesser de le branler. De son autre main, elle commença à se caresser. Le valet regardait toujours la danse de votre mère. Quand elle eut fini, il se pencha vers la jeune femme qui attendait ce moment pour lui sucer le pénis. Elle lécha avec application, consciencieusement, des bourses au gland, puis commença à sucer le bout comme s’il se fut agi d’un bâton de réglisse. L’homme lui caressa les cheveux, puis introduisit son membre dans sa bouche et lui enfonça. Elle l’accueillit sans peine, le laissant entrer jusqu’au fond de sa gorge. Elle était très excitée, et massait frénétiquement ses petits seins. J’avais envie de me mêler à leurs ébats, d’aller lui sucer les bouts de seins qu’elle avait très gonflés, mais d’un autre côté je prenais plaisir à me branler le bouton en les regardant. — Et moi, tu aurais envie de me sucer le bout des seins.— Venez sur le lit. Et laissez-moi vous dévêtir.— Ôte ta robe aussi, j’ai envie de te caresser.— Vous n’avez pas besoin de me le demander. Je suis à votre disposition. Je serai toujours à votre disposition selon votre bon vouloir.— Viens dans mes bras, et continue à me raconter cette soirée— Donc, comme je vous disais, la servante ...
«12...789...»