1. À nous la liberté !


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fhh, ffh, 2couples, fplusag, couple, inconnu, sexshop, boitenuit, miroir, Oral Partouze / Groupe hsodo, exercice,

    ... – que le con est humide. J’y glisse ma pointe, pousse, pousse et pénètre dans la grotte secrète de cette Parisienne, digne représentante de ces femmes actives. Je suis accueilli par un long frisson, et un instant elle détourne les yeux du couple pour me dire : — Fais-moi jouir ! Je m’active, montrant tout mon art, baisant ce vagin bourgeois, caressant les fesses en n’hésitant pas à donner quelques petites claques qui la font sursauter mais pas refuser, guidant sa main afin qu’elle caresse son petit bouton, m’accrochant à ses seins et à ses hanches alors que je glisse en elle comme dans un pot de crème. La cavalière du pompier ne se sent plus de jouissance. Elle se penche en arrière, lâchant le cou puissant pour venir s’appuyer sur la barre de maintien. Elle hurle son plaisir alors que l’homme contrôle la possession en allongeant ou pas la foulée. C’est fou. Dantesque. Ils vont se casser les reins, mais heureusement elle s’agrippe à nouveau à lui, laissant sa jouissance se dissiper lentement. Il arrête de courir, ralentit sa marche. Le tapis stoppe. Il en descend, retrouvant la terre ferme pour se diriger vers nous. La femme nous découvre en pleine action, ma partenaire balayée par mes avancées, s’accrochant à la table. Le couple regarde. Ils sont juste de l’autre côté de la table, toujours chevillés. Lui se penche, et délicatement place sa cavalière dans la même position que ma bourgeoise, mais à l’opposé. D’un mouvement il réinvestit la chatte un instant libérée et commence ...
    ... aussi son travail de baise. La position est savoureuse : chaque femme a sous les yeux les fesses de l’autre ainsi que la queue qui disparaît et ressort régulièrement. Un long moment, nous les baisons et sans même y penser adoptons le même rythme. Les deux femmes gémissent à l’unisson, et c’est bon de les entendre. Ma bourgeoise se lâche et ne cesse de m’encourager. Son ton est populaire, vulgaire, et j’adore. Ma queue la bourre de plus en plus vite et s’enfile profondément entre les fesses qu’elle cambre pour venir à sa rencontre. À côté, la femme n’en peut plus de cumuler les jouissances, et le pompier donne des signes de faiblesse, poussant les derniers coups dans un corps relâché et épuisé. Il se retire pour enlever la capote, sans doute pour se libérer sur les reins de sa conquête, mais la mienne que le plaisir submerge crie « Donne, donne ! » La surprise passée, l’homme dirige alors sa queue vers le visage de ma bourgeoise qui se tend vers elle. Et alors qu’une telle perversité m’excite et me fait jouir, la femme accueille sur son visage et dans sa bouche ouverte ce que la lance d’un pompier bien chaud peut cracher sous pression. Quelques minutes plus tard, notre homme raccompagne sa conquête à la porte de la caserne. Lorsqu’il revient dans la pièce où la bourgeoise et moi sommes restés, nous savons tous les trois que la nuit ne fait que commencer. Avant de descendre, il m’a discrètement demandé s’il revenait avec un ami. J’ai répondu « Plus tard » car moi aussi je veux ...
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