À nous la liberté !
Datte: 14/11/2018,
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Partouze / Groupe
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... goûter de nouveau à ce que cette femme peut nous offrir. _____________________________ Mais rien n’est jamais identique. Il existe des contre-exemples. Tenez, Vanessa. Ah, Vanessa ! Un lundi soir pourri. Je vais rentrer bredouille. C’est vrai qu’il pleut, mais tout de même, où sont passées les femmes ? Elles devraient toutes être dehors, même celles dont le mari n’est pas en vacances. Un soir de match de foot, de coupe du monde s’il vous plaît, les mecs sont tous devant leur télé. — Vous avez une cigarette ? me demande une voix à côté de moi. Je ne l’ai pas vue ni entendue venir, perdu dans mes pensées moroses. La terrasse est quasiment vide ; seuls quelques touristes m’accompagnent dans mon vice et fument tranquillement bien à l’abri de l’averse. Pourtant elle ne passe pas particulièrement inaperçue dans ce bar-tabac populaire. Grande, mince, les cheveux courts à la garçonne, avec une robe toute simple mais que l’on sent de marque. Robe noire sur peau sombre, car c’est une noire. — Vous avez du feu aussi ? Je n’ai rien sur moi. Bien sûr, je lui en donne. Mais que fait une femme comme elle ici ? Un instant, je pense que c’est une call-girl ou une escort, mais ce n’est pas l’endroit où elle va pouvoir trouver un client assez riche pour se la payer. Pas de doute que ses tarifs soient au max. — Je suis partie sans rien. Je n’ai même pas de quoi me payer un café. Bon prince, je lui propose de lui payer un coup. Après tout, on verra bien. Du fait elle s’installe à ma table et ...
... nous commençons à bavarder. Elle s’est pris la tête avec son mari et est partie sans rien, même pas les clés. Une « histoire de femme » mais n’a pas voulu m’en dire plus. Elle me questionne aussi. Le temps passe. Doucement, sa jambe vient se frotter à la mienne. C’est incroyable, je me fais draguer… Mieux, une main se pose sur ma cuisse et remonte. Mais soudain elle se lève. — Je dois partir.— Attendez, je vous accompagne. Dans la rue, je passe naturellement mes mains autour de ses épaules. Elle se laisse aller, penche sa tête contre moi. — J’habite pas loin. Nous pouvons aller chez moi, dis-je en exprimant clairement mes intentions. Pas une seconde elle n’hésite et me répond : — Oui, je veux bien, mais allons chez moi. Je m’étonne. — Mais votre mari ?— Justement, cela lui apprendra. Viens, ce n’est pas loin. Et elle m’entraîne avec un argument frappant. Sa main me caresse les fesses. Après tout, qu’est-ce que je risque ? Je suis bien assez fort pour me défendre, d’autant que dans ses confidences elle m’a parlé d’un vieux mari. Elle sonne à la porte cochère d’un immeuble Haussmann. — Oui ? dit une voix d’homme.— C’est moi, ouvre. Ascenseur. Dernier étage. Une seule porte sur le palier. Nouvelle sonnette. Il ouvre. La regarde, me voit. — Ah ! C’est tout ce qu’il dit en reculant pour nous laisser passer. — Je te présente Christophe, dit-elle en me montrant ; un ami. Il me tend la main comme à une connaissance. Je réponds, par automatisme, tout en constatant le saugrenu de cette ...