1. À nous la liberté !


    Datte: 14/11/2018, Catégories: fhh, ffh, 2couples, fplusag, couple, inconnu, sexshop, boitenuit, miroir, Oral Partouze / Groupe hsodo, exercice,

    ... prostate pour la flatter. Je sens ma queue vibrer sous cette caresse, déclenchant une ondulation de mon enculée. Maintenant il utilise son doigt comme une petite bite qui astique mon cul, le poussant si loin que seuls ses congénères en stoppent l’avancée. Je gémis. Oui, je gémis de ses caresses qui déclenchent une sensation que je ne connaissais pas. Je suis surpris de ma réaction ; mais après tout, qu’importe la méthode du moment que le plaisir est là. Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour comprendre maintenant pourquoi l’homme a aussi revêtu une capote. Je l’attends, mais le redoute. Jamais une queue n’est passée par ce chemin. Mais c’est comme si l’homme lisait dans mes pensées. Il se relève, adorateur de mes fesses, pour se dresser, mâle puissant. Un liquide froid coule sur moi que des mains étalent largement du haut de mon sillon jusqu’à mes bourses. Une main sur ma hanche ; l’autre, je l’imagine tenant la bite raide pour la diriger… Voilà je la sens… Je sens le bout rose, cette excroissance que j’avais remarquée assez marquée, comme un champignon qui couvre la tige, venir au contact. La deuxième main se place sur l’autre hanche et alors commence la lente pression de ce que je désire maintenant. Ahhhhh ! L’anus n’a jamais connu tel monstre ; mais bloqué par le corps de Vanessa qui s’agrippe au canapé, la force triomphe et il cède. Je sens ma corolle s’ouvrir et mes entrailles se remplir lentement de ce bâton marital. Un dernier coup de reins et me voilà cloué sur ...
    ... sa femme. Mais il se retire déjà. Mon cul ne sait pas ce qu’il veut. Il protestait de se faire prendre. Il s’inquiète d’être déjà abandonné. À nouveau du liquide. À nouveau le dard me pénètre, et déjà tout est plus facile. Plus de douleur, à peine une gêne. Il commence sa douce musique, le lent pistonnage de mes entrailles. Je suis toujours bien au fond de sa femme, et chaque fois qu’il avance je transmets cette intrusion par mon vit enchâssé et que je sens se gonfler dans le cul si étroit. Toute délicatesse s’envole, il ne se retient plus et j’aime cela. Il me transforme en maîtresse qu’on encule ; mieux, en pute qui se fait prendre dans une camionnette par un homme qui en veut pour son argent. Je ne connaissais pas cette impression, moi qui suis toujours le maître de mes rencontres, tenant mon rôle d’amant pour faire jouir, mais toujours lucide et maître de mes actes. C’est un mari qui m’encule, poussant son dard au plus profond de mes entrailles, claquant son ventre contre mes fesses, heurtant mes couilles avec les siennes et produisant ce bruit que je reconnais si bien, celui d’une queue qui glisse dans une chatte, grasse et humide. C’est mon cul qui est ce trou ouvert, gras et humide, que la queue d’un homme pistonne si bien, si fort, me procurant une sensation que j’adore. Ce n’est pas vraiment du plaisir. Je pense que le plaisir ne vient qu’avec un peu d’expérience, un peu comme la première fois pour une femme. Mais l’homme semble prêt à jouir. Pourtant il ressort, ...