À nous la liberté !
Datte: 14/11/2018,
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... m’abandonnant. Mais j’entends le bruit caractéristique de la capote arrachée et sens aussitôt sur mon dos et mes reins les traînées chaudes de son sperme. Il reste un moment contre moi ; je l’imagine trayant la dernière goutte pour l’abandonner sur mes fesses. J’aurai été jusqu’à la fin sa pute de service. — Allez, vas-y maintenant. Fais-lui sentir ta queue ! me dit l’homme, venu s’asseoir à côté de sa femme. Il n’en faut pas plus pour que d’enculé je retrouve mon état d’enculeur. Il veut que je la pistonne. Je la pistonne. Mieux, il lui donne des claques sur les fesses pour m’accompagner. Le mari dominé du début de soirée s’est transformé en dominant, et sa femme ne semble pas s’en plaindre. Moi aussi je sors ma queue du cul pour regarder le miracle de cette corolle sombre qui reste quelques secondes grande ouverte, montrant son impatience de se faire conquérir à nouveau. J’attends que le muscle commence à se lasser, perdant espoir pour revenir à son état de porte à peine entrebâillée. Alors je replonge, profitant encore et encore de la vision du sphincter qui s’ouvre en étranglant ma queue et la moulant de sa chair. Je la baise, longuement, montrant toute ma science et l’art de me retenir. — Vanessa, ce soir tu as fait le bon choix. C’est un bon coup, hein ? dit l’homme à sa femme, qui ne répond que par un hochement de tête tellement je la fais jouir. Quel compliment ! Le meilleur ! Celui de l’homme ! Du mari. — Vous jouirez dans sa bouche. Retenez-vous, me demande ...
... l’homme. Il est temps de me prévenir. Encore quelques coups dans ce cul soyeux et j’allais jouir. Ses désirs sont des ordres. Je m’extrais, non sans abandonner un trou déformé et ouvert, pour enlever ma capote. Aussitôt Vanessa vient à mon devant. Mais nous n’avons pas été assez rapides et le premier jet arrose son visage. Le second et les autres se déversent entre ses lèvres hermétiquement closes autour de ma queue qui vibre à chaque passage du liquide qui se rue. Elle est magnifique. J’ai un instant l’idée fugitive mais honteuse et bien mal considérée de nos jours, de la maîtresse noire, corps de liane, parfaite connaisseuse de nos désirs d’hommes et toute entière à notre disposition. Mais ce sont des idées d’une autre époque, de ces temps révolus, de fureur et d’injustice où les femmes n’étaient bien souvent que des esclaves sexuelles. Ce que j’ai sous les yeux, c’est bien mieux. Pas une esclave, mais une partenaire consentante et audacieuse qui se fait une joie de répondre aux désirs de son conjoint. Elle me suce, accompagnant chaque giclée avec sa langue pour la guider dans des lieux secrets. Mon sperme trace des traînées blanches qui coulent lentement de ses yeux vers son menton. Je suis vidé ; j’ai été pompé jusqu’à la moelle et je suis fier de mon œuvre. Je suis fier aussi de m’être fait enculer pour la première fois, ajoutant ce plaisir inconnu à la liste des autres. Mon sexe s’échappe de ses lèvres gourmandes et Vanessa se tourne vers son mari. — Montre-moi. Montre-moi ce ...