Faire l'amour sur scène
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
fh,
cinéma,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
humour,
Collègues / Travail
lieuxpubl,
... fait l’amour sur scène. C’est un fantasme assez répandu chez les comédiens. Pleins feux et musique de Vivaldi à fond la caisse. Puis nous nous sommes endormis sur place. Le matin, Martine me dit qu’elle avait adoré la soirée, mais que son fantasme serait de baiser en pleine représentation. Je lui proposai bien le spectacle érotique, mais elle me répondit que d’une part ce public-là ne l’intéressait pas et que d’autre part elle savait que nous faisions semblant. Je lui suggérai alors la scène de ses malheurs avec sa mère. Elle durait suffisamment. Il fallait simplement que nous jouions derrière le bureau et non devant. En effet, un petit bureau était le seul décor de la pièce, et si nous étions assis derrière, personne ne pourrait se douter de notre activité sexuelle. Pour dire la vérité, le premier soir, ce ne fut pas possible. Le public était clairsemé, difficile, amorphe. Il fallait toute notre concentration pour livrer un vrai combat et assumer la représentation avec conviction. Mais le soir suivant, des spectateurs jeunes et enthousiastes nous incitèrent à aller jusqu’au bout de notre fantasme. Le moment venu, Martine qui jouait le rôle de cette pauvre fille en querelle familiale, venait se plaindre et, après quelques mots de consolation, je l’invitais à s’asseoir sur mes genoux. Elle souleva sa robe, m’enfourcha et je sentis vite son clitoris humide sur mon pénis gonflé. C’était un premier pas. Il restait à procéder à l’introduction. Je la soulevai un peu sur la ...
... phrase : — Raconte-moi tout et le tour était joué. Dans un premier temps, émus autant l’un que l’autre par cette introduction dans une pièce qui en était à sa conclusion, nous ne bougions pas. Elle débitait son texte en le savourant. Je sentais mon sexe s’enfoncer dans le sien de plus en plus mouillé. Puis elle se mit à jouer : — Ma mère m’a attrapée par les cheveux et elle m’a secouée comme ça ! Elle fit des mouvements qui nous transportèrent de plaisir. Elle continua :— Moi, je me suis défendue, j’ai résisté bien sûr, je me débattais, je… C’est alors qu’elle se mit à pleurer, ce qui n’était pas prévu, mais très crédible dans le rôle. Et ces sanglots lui donnèrent l’occasion de bouger dans un tressautement calculé et continu. Il n’en fallait pas plus pour que nous arrivions à l’orgasme. Elle est ensuite descendue tranquillement de mes genoux et elle est allée en coulisse, comme cela était indiqué dans la mise en scène. Elle put ainsi s’essuyer discrètement. J’avais la tâche difficile de continuer la pièce en me rhabillant comme je pouvais, pendant ce court monologue : — Quelle casse-pieds, celle-là ! Elle croit peut-être que je n’ai que ça à faire : écouter ses sornettes. Sa mère lui a fichu une raclée, bon, mais qu’est-ce que j’y peux ? En plus, cette habitude qu’elle a prise de s’asseoir sur mes genoux ! L’autre jour, ma femme s’est demandé ce qu’on faisait ! La représentation se termina sans accrocs et à la fin plusieurs spectateurs nous ont dit combien ils avaient trouvé ...