1. J'ai perverti la mère de mon copain (5)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Erotique,

    Pendant que Sophie, la mère de mon copain Laurent, me masturbait avec maladresse, je continuais à lui caresser la poitrine et le ventre à travers le tissu de sa nuisette, et à lui rouler des patins dont elle partageait le plaisir par des jeux de langue. L’idée qu’elle me suce m’est venue en tête. J’ai libéré sa bouche et de ma main j’ai appuyé sur l’arrière de sa tête pour la guider vers mon sexe fièrement dressé. Mais j’ai ressenti une réticence de sa part. « Allez ! Sucez-moi. » lui ai-je murmuré à l’oreille. « Non. Je n’ai jamais fait ça. C’est dégoûtant. » me répondit-elle. « Mais non. Vous allez voir comme c’est excitant de faire une pipe à un homme plein de désir. » lui ai-je répondu en retour, tout en appuyant un peu plus sur l’arrière de la tête. Mais elle continuait à résister. Alors je n’ai pas insisté, malgré tout le désir que j’avais de sentir sa bouche autour de mon sexe. Mais cela m’excitait encore plus de penser que j’allais pouvoir apprendre des choses à une femme mûre, une petite bourgeoise un peu coincée. J’ai alors repris mes caresses, mais cette fois ma main a réussi à passer sous sa nuisette et à s’infiltrer entre ses cuisses légèrement entrouvertes. Je suis alors remonté jusqu’à sa petit culotte où j’y ai senti l’humidité révélatrice de son plaisir naissant. J’ai pu ensuite poser ma main sur sonpubis et j’ai senti le souple matelas que formait sa touffe brune, que j’avais deviné l’autre soir alors qu’elle sortait de la salle de bain, par ...
    ... transparence de la nuisette qu’elle portait alors. N’y tenant plus, je me suis levé, le sexe fièrement dressé devant moi. J’ai pris ses mains dans les miennes, et je l’ai faite se lever du canapé pour l’attirée vers moi. Elle s’est collée contre moi. Je sentais sa poitrine se plaquer contre mon torse. J’ai plaqué mon sexe dressé contre elle. Il s’est frayé un chemin sous sa nuisette pour venir frotter sur le devant de sapetite culotte le long de son pubis. Nos bouches se sont à nouveau soudées. J’ai senti sa respiration s’accélérer, signe qu’elle prenait plaisir de cette situation. Mes mains qui caressaient son dos sont descendues sur ses fesses pour les malaxer comme j’avais malaxé ses seins jusque là. Puis elles sont descendues jusqu’à la lisière de la nuisette et sont passées dessous pour caresser ses globes fessiers par dessus le tissu de la petite culotte. Ensuite j’ai attrapé le bas de la nuisette pour la remonter progressivement le long de son corps, pour enfin la lui retirer totalement. Elle était maintenant quasiment nue devant moi, juste en petite culotte de coton rose pâle, un peu du modèle de celle que je lui avais volé un jour et que je conservais dans ma chambre pour me masturber dedans en pensant à elle. En prenant un léger recul, j’ai pu enfin admirer sa généreuse poitrine, aux globes en forme de poires, bien fermes, qui se tenaient fièrement dressés. Ses aréoles, d’un brun soutenu, étaient assez larges avec en leur centre de jolis tétons assez longs et érigés par ...
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