1. J'ai perverti la mère de mon copain (5)


    Datte: 15/11/2018, Catégories: Erotique,

    ... en contact avec l’entrée de son vagin. J’ai pris à nouveau alternativement ses seins dans ma bouche, aspirant et mordillant ses tétons dressés de plaisir, mais en accentuant un peu plus la pression de mon gland contre l’ouverture de sa chatte. « Oui ! Non ! » me dit-elle entre deux soupirs de plaisir. J’ai continué ma pression sur sa chatte trempée, puis d’un coup de reins je me suis enfoncé profondément en elle. « Noooonnnn ! » s’exclama-t-elle. « Je suis mariée. » Ne tenant pas compte de sa supplique, je suis resté en elle un moment. Je sentais des spasmes autour de mon sexe qui la remplissait. J’étais enfin arrivé à mon but : baiser la mère de mon copain Laurent. Puis j’ai commencé de lents va-et-vient en elle. « Oh ! Tu me remplis. Continues ! » soupira-t-elle. J’ai alors accéléré mes va-et-vient en elle, et je sentais qu’elle s’abandonnait totalement. J’avais enfin conquis ma bourgeoise. Je donnais du plaisir à la mère de mon copain. J’étais aux anges. J’ai continué à la ramoner de plus en plus brutalement, et enfin elle a hurlé son plaisir dans un immense orgasme. J’ai pensé qu’elle n’avait pas du jouir comme ça depuis longtemps vu la violence de cet orgasme. Cela a provoqué en moi le déclenchement de mon propre orgasme et j’ai lâché ma semence à l’intérieur de son utérus. J’ai inondé sa chatte ...
    ... d’une importante quantité de sperme. Je n’avais jamais joui autant, même dans mes pires fantasmes nocturnes dont Sophie était le sujet. Je suis resté en elle le temps de débander. Je l’ai embrassée amoureusement dans le cou, sur la bouche. Pendant qu’elle émergeait doucement de son orgasme, je sentais le trop plein de sperme s’écouler de son vagin et mouiller le drap du lit conjugal. « Qu’avons-nous fait ! » dit-elle coupablement en reprenant conscience. « Mais c’était tellement bon. Tu es tellement gros, bien plus gros que mon mari. Il y a tellement longtemps que je n’avais pas joui comme ça. » Nous sommes restés au lit tout le reste de la journée, à nous câliner. Dès que je reprenais de la vigueur, je la baisais de nouveau, mais cette fois c’était elle qui demandait que j’inonde sa chatte de ma semence. Le soir j’ai du la quitter, car son mari risquait de rentrer. Le drap du lit conjugal était trempé de ma semence et de sa mouille. Ses cuisses étaient maculée et les poils de sa chatte étaient collés de nos secrétions. Nous sommes descendus nus au salon, où j’ai retrouvé mes affaires. Je me suis rhabillé, sans me laver. Je voulais garder sur moi son odeur de femme baisée. Elle, nue, avec la chatte encore dégoulinante, m’a raccompagné à la porte. Avant de nous quitter, nous avons échangé un langoureux baiser. 
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