L'INCONNU DU CINEMA (10)
Datte: 06/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... appelait la brute, celui qui m’avait déjà tout fait avec sa grosse queue et je dois avouer que cela ne me rendais pas insensible. Bien au contraire le souvenir de sa queue était resté gravé dans ma chair et que l’on m’offre de nouveau à lui était plutôt un cadeau, plus qu’une punition. La brute à sourit, il s’est levé et est venu jusqu’à nous: — Je te manque déjà, ma petite pute ? Je n’avais pas compris qu’il attendait une réponse de ma part et il m’a immédiatement claqué les fesses avec la paume de sa grosse main, le bruit à raisonné dans la pièce alors qu’il me demandait de nouveau. — He, la pute, je te manque ? — Oui…vous me manquez… — C’est moi qui te manque ou ma grosse bite ? — Hum…c’est votre grosse… bite…qui me manque Marc lui a aussi glissé un mot à l’oreille — Ha...ha…ha…elle va prendre dur cette fois… Tout en ricanant, il s’est allongé au sol sur le dos et en retirant ses vêtements il a fait apparaître son sexe démesuré qui bandait déjà. J’ai regardé mon mari qui écartelait les yeux en voyant la taille exceptionnelle de ce membre et j’avais envie de lui dire : — Tu vois mon amour ce qu’ils me mettent, tu vois pourquoi j’aime ça, tu vois pourquoi je suis devenue une vrai salope, comment pourrais-je résister à un tel bonheur. La brute s’astiquait déjà la bite en me regardant, crachant dans sa main il déposait sa bave sur le gland rougeâtre et faisait quelques vas et vient rapide pour huiler le prépuce. — Regarde ma belle, elle t’attend tu lui manque kbckddxr Marc ...
... m’a écarté les jambes et positionné juste au-dessus, m’appuyant sur les épaules pour que je plie les genoux et que je puisse m’y empaler. Heureusement, le mélange de cyprine et de salive ont permis au gland de se positionner facilement, déjà habituées à cette grosseur mes chairs se sont élargies et le poids de mon corps à fait le reste. Il m’a dilaté centimètre par centimètre, violant mon intimité avec son impressionnante virilité et en moins d’une minute le pieu avait totalement disparu dans mon ventre. J’étais parfaitement empalée, pleine de ce gros membre chaud qui occupait toute la place dans mes entrailles. La brute se délectait en m’agrippant les anches, il entamait de petits et rapides vas et vient pour m’élargir encore plus et je ne pouvais cacher mon plaisir qui se manifestait par ces petits bruits humides que nous connaissons tous si bien. Pendant que je me faisais enfiler, mes yeux ont recherché le regard de mon homme, il semblait admirer la scène tout en caressant les seins de la belle Marie. En le fixant dans les yeux j’aurai voulu lui avouer, regarde mon amour, regarde bien le pied que je prends avec cette queue qui m’enfile. C’était incroyable, j’étais là empalée sous le regard de toute une assemblée et plus particulièrement de mon époux qui ne disait rien, il ne semblait pas surpris et même en retirait un plaisir évident. Marie aussi me regardait, mais avec une pointe d’ironie au fond des yeux, tout en me fixant elle à ouvert le pantalon de mon homme pour y ...