Le réveil
Datte: 15/11/2018,
Catégories:
fhh,
extracon,
copains,
grossexe,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
confession,
... chocolat (chocolat un peu fondu tout de même, mais bon… agréables à voir et à caresser, ce dont je ne me prive pas). Il me laisse faire, suivant la danse de mes doigts sur sa peau. Je le sens se raidir un peu lorsque j’atteins sa ceinture. Trop tard, le vêtement cède, glisse sur ses mollets. Sans se baisser, s’aidant des pieds, il chasse ses chaussures, suivies du pantalon qui échouent au sol. Un joli caleçon à fleurs (!) a bien du mal à cacher une tige turgescente qui, à elle seule, pourrait supporter bien des bouquets. La cueillette est de mon ressort et je ne me fais pas prier. Les fleurs rejoignent les chaussures et je m’empare enfin du membre resplendissant, vigoureux, virilement dressé qui vient palpiter entre mes doigts que je resserre tendrement autour de la colonne dont j’ai du mal à faire le tour. — Hummm… Kris… Le soupir d’aise et le petit mot qui échappent à Jeff n’ont pas besoin que je prononce une quelconque parole, bien que ma bouche forme un « O » ; ce n’est pas celui d’une exclamation, mais d’une offrande. Mes lèvres épousent difficilement le gland imposant aux reflets irisés, mais il trouve vite le contact de ma langue qui le presse, le cajole. Mes mains abandonnent la lourde tige pour finir de dégrafer ma robe. Je la conserve sur mes épaules, mais, entièrement ouverte, elle offre mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon pubis aux regards de Jeff. Il s’empresse de frôler ma peau, d’englober mes seins alors que, de mon côté, je reprends le pieu mâle d’une ...
... main et flatte de l’autre deux abricots gorgés de désir inassouvi. Très vite, ses reins se mettent en mouvement, amplifiant la caresse de mes lèvres. Il vibre sur ma langue, mais j’en veux bien plus. Je l’abandonne à nouveau, me laisse aller en arrière, jambes largement ouvertes. En appui sur les mains à hauteur de mes épaules, il se laisse tomber doucement sur moi. Je suis offerte, béante, indécente, dans l’attente de cette possession merveilleuse. Mon ventre est humide, brûlant… moins brûlant pourtant que la lourde colonne de chair et de sang qui se fraye un savoureux chemin en moi. Je m’ouvre, il avance ; je m’écartèle, il progresse encore. Il va me pourfendre, me clouer au lit ! Non, il vient buter doucement contre mon utérus. Petit choc qui déclenche une série de spasmes. Mes muscles internes se mettent à palpiter autour du mât dur comme du bois, épousant, pressant intimement chaque parcelle de cette chair virile. Mon bel amant gémit et entame de trop lents va-et-vient. J’accroche ses épaules à deux mains, le souffle court ; je le veux plus loin, plus fort… — Ahhhh… Viens plus fort, transperce-moi, défonce-moi… Fais-moi jouir, fais-moi crier, j’en avais tellement envie !— Et moi donc… Tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en rêvant à toi, le soir, tout seul chez moi. Tu sens comme je bande pour toi ?— Oui ! Tu es gros, dur ; j’aime comme tu me remplis ! Viens tout au fond, vas-y, fais-moi jouir, délirer, crier ! Mon bel amant se déchaîne. Ses coups de ...