1. Le réveil


    Datte: 15/11/2018, Catégories: fhh, extracon, copains, grossexe, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, fdanus, fsodo, confession,

    ... phalange fore mes chairs, entame la découverte de ce puits secret et sensible. Si elle recule maintenant, ce n’est que pour mieux approfondir sa conquête la seconde suivante. Seul le contact de la main bloque l’impétueuse avancée. Me voici clouée, perforée, puis lentement ramonée par ce doigt qui enflamme mes reins. La quatrième main n’est pas en reste, enserrant le globe de mon sein droit. Je suis au bord du précipice, haletante, tremblante, frémissante. Qui donnera le coup de grâce ? Je disais « complices » tout à l’heure, mais ils doivent communiquer par télépathie, car c’est ensemble qu’ils me mettent à mort, m’arrachant un cri strident alors qu’un orgasme fou secoue toutes les fibres de mon corps ! Jeff qui a depuis longtemps débusqué mon clitoris le pince doucement entre ses dents, fait jouer la pointe de sa langue sur la chair gonflée de désir tandis que Coco mordille allègrement le téton durci de mon sein gauche ! Épuisée, repue, comblée, je retombe inerte, désarticulée comme une marionnette à la fin du spectacle de guignol. C’est le parfum corsé d’un café frais qui me fait retrouver mes esprits. Amants délicats, mes deux compagnons sont aussi très attentionnés et ont disposé à nouveau trois tasses fumantes sur la table basse. Jeff, toujours aussi tendre, a même profité de ces quelques minutes de retour au calme pour rabattre ma jupe sur mes jambes et refermer quelques boutons de mon chemisier, si bien que je suis redevenue présentable et que rien ne subsiste des ...
    ... moments torrides que nous venons de vivre. L’unique preuve de ma débauche, qui traînait tout à l’heure sur le tapis, a elle aussi, disparu (je soupçonne Coco de l’avoir glissée dans sa poche… trophée de guerre ?). J’avoue apprécier mon café à sa juste valeur ! Toujours tous les trois sur le canapé, Jeff à ma droite, Coco à ma gauche, nous allumons une cigarette. Pour une fois, je peux bien faire une exception à l’interdiction de fumer dans la maison : il est tard, et la nuit est un peu fraîche pour aller fumer sur la terrasse. Et puis, je suis si bien, blottie entre mes deux soupirants ! Un moment de silence… Le regard perdu dans les volutes de fumée de ma cigarette, je revis les instants sublimes que je viens de vivre, je ressens presque encore l’infernal plaisir que m’ont donné mes amants. Au creux de mes reins, les sensations renaissent ; doucement, mes seins se gonflent, leurs pointes durcissent. Entre mes jambes, une douce chaleur accompagne mes pensées, mes envies, mon désir qui remonte à la surface. Pourtant, ce n’est plus de caresses dont je rêve, ce ne sont plus à des mains ou des lèvres que j’aimerais offrir mon corps. J’imagine aussi facilement la tension de mes voisins, leurs désirs inassouvis, et cela me trouble. Nymphomane ? Non ! Mais quelle femme, à ma place, après avoir vécu ces moments torrides, n’aurait pas, elle aussi, de sournoises envies ? À la différence que mes envies, mes désirs, je n’ai pas honte de les avouer et de les… satisfaire ! Je me penche en ...
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