Un cocu heureux 2
Datte: 15/11/2018,
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Dans la zone rouge,
Est-ce la crainte d’une interruption ou la hâte de s’accoupler, le mouvement s’accélère. « Gérard », je viens d’entendre son prénom prononcé avec tendresse par ma femme, Gérard donc relève sa proie, couvre son visage et son cou de baisers énervants, s’attarde sur les lèvres longuement pendant qu’il travaille le corps enfin il la pousse croupe contre la table, la culbute sur le plateau en douceur. Ainsi allongée elle ne lui échappera plus. . Il tire sur les hanches afin d’amener le bord des fesses et le sexe en bordure de table. Il s’agenouille entre les deux jambes pendantes, pointe sa langue droit vers la chatte poilue, maintient du pouce le mince bandeau du string dans le pli entre ventre et cuisse. Il fait face au sexe désiré, lèche la fente, enveloppe grassement la vulve enflée de désir, va sucer le bonbon du clitoris, s’abreuve goulûment de sécrétions féminines, s’essuie la bouche d’un revers de main. Il aplatit son visage sur la plaie grande ouverte, rose et brillante du sexe offert à sa convoitise. Les cuisses se referment sur ses oreilles avant de se détendre. J’assiste à un cunnilingus soutenu. Mylène s’exclame, bondit , se déplace, se tortille, appuie ses talons sur le bord de la table, et, sous la tension de ces baisers sexuels, ses fesses entament un mouvement vertical connu des amateurs éclairés, se soulèvent puis retombent en un mouvement saccadé. Croit-elle échapper ainsi au plaisir trop fort grâce aux secousses désordonnées de son ventre en folie ? Gérard ...
... est jeune, il maîtrise la situation. La pression fait monter par degrés le ventre vers un sommet puis la décompression rabat le fessier avec des tremblements irréguliers. Deux mains solides la calent souplement. Ce mouvement se répète, une fois, dix fois, cent fois peut-être, le bassin se déforme en vrille,une hanche se lève plus haute que l’autre, dans un râle permanent, témoin sonore quasi ininterrompu de l’excitation grandissante. Il n’y a pas de doute, l’amant n’en est pas à son coup d’essai ; il maîtrise le jeu de ses doigts, de sa langue et de ses lèvres. Gérard s’amuse. Sur sa langue fourrée, il fait danser tout ce bassin et sent les frémissements incontrôlés de tous les muscles de la femelle irrémédiablement livrée à son appétit de jeune loup vorace. Le souffle haché de la femme annonce pour bientôt la reddition complète. Mylène implore, supplie, réclame l’estocade libératrice : - Allez, viens prends moi. Je n’en peux plus d’attendre. L’homme se redresse dans la fourche de chair en chaleur, il saisit sa verge durcie, l’approche de la plage et des bords rougis de la crevasse écartés par ses deux pouces. Il se met en place, frotte son gland contre le sexe qui s’offre, il projette ses fesses vers la chatte impatiente, force à peine et plonge dans le vagin de ma femme. Oui, cette fière cavale, je ne l’oublie pas, cette ardente cochonne, c’est ma femme. Qu’elle est belle, vue d’ici, l’épouse en chasse, ma femme vouée à un orgasme neuf, exaltant, et, mais y pense-t-elle, ...