Un cocu heureux 2
Datte: 15/11/2018,
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Dans la zone rouge,
... adultère ? A ce stade, la passion, le plaisir imminent emportent toute pensée cohérente. Plus tard elle sera capable de clamer qu’elle m’aime. Je ne suis pas un mari fatigué ou négligent, bien au contraire. Et pourtant ma femme recourt aux services d’autres hommes. Maintenant je le sais enfin, et je ne me priverai pas du plaisir de suivre le crescendo de son plaisir. Mon fantasme triomphe de sentiments égoïstes, je me complais à regarder cette empoignade fabuleuse qui unit un sportif jeune à mon épouse mature. Dans la nuit, un long feulement accompagne la pénétration profonde. Les parois préparées ne freinent pas l’élan, les pubis s’accolent, se pressent, s’immobilisent, se tutoient, tentent en vain de s’écraser. Les poils s’emmêlent pour amortir les élans. Les fesses musclées reculent, les jambes de femme retombent légèrement puis remontent sous l’attaque suivante pour s’accrocher aux hanches viriles. Mylène murmure des mots d’amour, prodigue des encouragements, veut plus, plus fort, plus vite, plus loin. Son dos se creuse entre croupe et nuque. Et l’étalon recruté pour son plaisir s’exécute, la bombarde de coups, la cloue sur la table, enfonce ses doigts dans la chair des poignées d’amour pour l’empêcher d’échapper à sa prise. Il est jeune, ardent, sportif, il force l’allure, secoue le corps, arrache des cris de jouissance et soudain se raidit, ventre balancé à l’avant, cloué au plus profond du déversoir où il expédie sans compter de longues giclées de sperme chaud dans le ...
... ventre qui tressaille. Il lui a mis une queue, il lui envoie la purée.Que je suis content de vivre de près cette union charnelle passionnée. Je viens d’assister à l’acte premier. Gérard se retire, flatte au passage la vulve béante dont le rouge est strié de coulées blanches qui vont se perdre entre les fesses magnifiques de ma Mylène d‘où certaines tombent au sol. Comme moi l’amant scrute ce con abreuvé, puis le visage de celle qui est « heureuse », forcément. Son sourire dit sa satisfaction.Je vois la face écarlate mais rayonnante de mon épouse, trempée de sueur. Elle soulève ses seins collés à sa poitrine, les aère et les soulage puis elle s’assied en bord de table, souriante, heureuse oui, contentée, comblée ou presque. Pour elle, je suis ému aux larmes. C’est une amante merveilleuse, elle mérite les hommages et les assauts amoureux d’autres hommes. Me la réserver entièrement serait de l’égoïsme. Je veux m’en persuader. Je veux qu’elle profite au maximum des ressources de son corps. Son bonheur fait le mien. J’ai vibré avec elle, je n’ai pas perdu une miette du spectacle, j’ai surveillé l’entrée du sexe dans le cirque de chairs nues. Le pistonnage de son écrin surtout dans la partie finale, rapide et forte, a fait bander mes muscles. Mon sexe, à son tour, a durci dans ma main comme si j’étais l‘acteur de sa jouissance. Mylène félicite et remercie le cher ami, caresse ses côtes, les embrasse en long et en large, chatte langoureuse et pas tout à fait assouvie, elle tend ses ...